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Quel logiciel je peux utiliser librement et gratuitement ?

En complément de l’article de Fouzia Salihi : « Logiciels libres ou gratuits« , nous proposons ici de définir de façon très simple, pour nos élèves du premier degré, la différence en les logiciels libres, gratuits, propriétaires…

Pour commencer, nous ne parlerons ici que de logiciels (par exemple Word ou Writer), et non pas des images que l’on a le droit d’utiliser (un article sera bientôt publié sur cette question).

Pour commencer, un logiciel libre ressemble à un logiciel qui n’est pas libre (donc propriétaire). Il n’est pas forcément plus moche, ni plus compliqué. Par exemple, vous utilisez pour faire du traitement de texte soit Microsoft Word, soit Libre Office Writer. Vous pouvez faire la même chose avec ces deux logiciels : mettre en gras du texte, changer la couleur des mots, insérer des images, mettre des numéros aux pages.

Mais alors quelles différences? Pourquoi choisir plus l’un que l’autre ?
La première chose est que l’un est payant, et que l’autre est gratuit. Mais attention, il ne faut pas généraliser…. Parfois un logiciel libre peut être payant !
La principale différence est qu’un logiciel libre donne l’autorisation aux utilisateurs d’étudier et de modifier le fonctionnement même du logiciel s’il en a envie (bon d’accord, il faut déjà avoir quelques notions en informatique). Il peut également le redistribuer à d’autres personnes.

Sans le savoir vous utilisez déjà des logiciels libres… comme par exemple Mozilla Firefox pour aller sur Internet, Mozilla Thunderbird pour aller voir ses messages de courriers électroniques, VLC pour voir des vidéos !

La majorité des sites internet repose sur des logiciels libres. Par exemple votre blog pour le concours utilise WordPress qui est un logiciel libre !

Maintenant on peut se poser la question de savoir comment on reconnait un logiciel libre d’un logiciel propriétaire, et quelles équivalences il existe pour trouver une solution libre quand on a l’habitude de travailler sur un logiciel propriétaire ? Le plus simple pour commencer est de voir l’article de Wikipedia sur le sujet. A voir également le site de Framasoft.

Alors à vous de choisir !

Et les élèves finalistes, ils vivent comment cette aventure?

Je ne peux m’empêcher de vous faire partager cet article, écrit par une des élèves finalistes de cette année…

Vous l’avez attendu, vous l’avez espéré, vous vous êtes impatientés, vous en avez rêvé la nuit… Et il est enfin là !

Voici donc le tant attendu article qui relate l’incroyable aventure de nos 4 courageux Matricules (Thomas, Cloé, Adrien et Marie) qui ont représenté avec bravoure l’équipe clunisoise à la finale du concours « Blogue ton école » !

Mercredi 4 octobre 2017

8h06 : Après l’arrivée de Marie, qui est demi-pensionnaire et donc amenée en bus (c’est toujours les mêmes que l’on attend), notre joyeuse troupe est enfin au complet et peut s’entasser bon gré mal gré dans le petit kangoo du lycée conduit par Fanny, AED. Derrière nous, C. Clergue, au volant de sa voiture bleue nous suit de près et se moque allègrement de notre pauvre véhicule qui a du mal à se faire au rythme de l’autoroute.

10h12 : Dijon se dessine devant nous et tandis que plane sur nous la menace de l’absence éventuelle de parking, Fanny s’échine à perdre notre CPE dans les méandres de la ville. Heureusement la chance est avec nous et après d’interminables minutes à tourner en rond dans un parking perdu au fin fond de la cambrousse et où toutes les voitures ou presque sont garées sur deux places, c’est le miracle : une place est libre !

10h22 : Après nous être munis de nos piques-niques, nous nous dirigeons vers notre destination : le Palais des Congrès de Dijon. Un regard sur la montre nous affole : nous sommes (encore une fois) en retard ! Nous allongeons donc le pas tout en entamant un paquet de M&M’S®. Après tout, un concours ne doit pas nous faire perdre de vue l’essentiel : manger.

10h35 : Enfin, nous arrivons à l’Université Numérique d’Automne. Nous ne sommes pas à l’heure mais nous ne sommes pas les plus en retard, donc tout va bien. À l’étage, Clairelle Lestage, en charge du concours, nous accueille les bras grands ouverts, l’entoushiasme faisant pétiller ses yeux. Elle s’effare devant nos quantités astronomiques de nourriture (les clunisois sont prévoyants) mais refuse en riant nos propositions de corruption.

10h42 : C’est le début officiel du concours, les sujets sont distribués. Côté lycée, voilà ce qui nous est demandé : « Imaginez votre lycée du futur en utilisant le logiciel Imovie à l’aide d’images prises exclusivement sur place ». Pas de temps à perdre ! Le brainstorming commence et fait chauffer les cerveaux : vision optimiste ? Pessimiste ? Une fiction ? Un film classique ? Que faire ? Par où commencer ?

Cloé, éternelle optimiste, refuse en bloc une vision pessimiste : elle qui n’est qu’amour ne peut admettre la déchéance potentielle de son lycée. Nous sommes dans l’impasse. Adrien prend l’initiative d’ouvrir notre support : Imovie. En naviguant sur le logiciel, il découvre la fonctionnalité « bande-annonce » qui présente des exemples de bande-annonces par thème : terrifiant, romance, aventure, et bien d’autres… Par curiosité, il ouvre la bande-annonce type « film d’horreur ». L’ambiance nous convainc quasi unanimement, notre lycée du futur sera « effrayant » et notre film sera sous la forme d’une bande-annonce. Notre thème trouvé, nous pouvons nous lancer activement dans le concours. Nous ferons donc un film qui racontera la part sombre de la dématérialisation dans le cadre scolaire : une potentielle déshumanisation totale qui nous effraie et nous rend sceptique par rapport à l’avenir de l’éducation.

Première étape : nous nous rendons au rez-de-chaussée pour découvrir les exposants et récolter nos prises de vues. Nous cherchons principalement des objets robotiques et informatiques que nous tentons de dissocier de leur environnement, tâche pour le moins difficile de par le nombre de visiteurs. Subtilement, nous essayons également de subtiliser les stylos offerts sur les stands dans le but de réapprovisionner le BVS. Après tout, d’après Fanny et C.Clergue, c’est notre principal objectif aujourd’hui ! Notre bibliothèque d’images d’objets bien remplie, nous nous attelons au tournage.

Cloé, en chemise blanche, est choisie comme personnage principal : c’est clairement elle qui a l’air la plus sérieuse de nous 4. Nous cherchons d’abord un endroit calme et neutre pour tourner : dans l’idéal un décor qui semblerait aseptisé pour être à l’image de notre société futuriste purgée de toute relation humaine. Nous trouvons notre bonheur dans les toilettes de l’établissement : pas très glamour mais parfait pour notre film. De nombreux passants nous jettent des regards curieux quand nous leur coupons la route avec tout le sérieux dont nous sommes capables. Puis, vient l’heure de retourner au QG, débriefer avec nos cheffes nos avancées.

11h54 : Nous transférons nos fichiers sur la tablette officielle. En effet, malgré les consignes, nous avions considérées que la qualité vidéo offerte par la tablette était largement insuffisante par rapport à ce qu’étaient capables de produire nos téléphones. (Cluny exige de la qualité !) Midi approchant, nous rassemblons nos affaires et nous préparons à suivre Clairelle à travers les dédales de l’établissement.

12h01 : C’est l’heure du grand départ : tout le monde s’amasse derrière notre guide et nous partons pour le bonheur (c’est-à-dire le repas de midi). Bien que nous ayons passé la matinée à nous goinfrer, principalement de M&M’S®, -nous sommes fidèles à notre réputation- le ventre nous tenaille et nous suivons joyeusement le mouvement.

12h11 : Enfin, c’est l’heure du repas. Nous nous retrouvons dans une grande salle qui contient de nombreux îlots de piques-niques composées de tables rondes entourée de bien plus de chaises qu’il n’en faut. Nous nous installons à notre table de chevaliers en plein milieu de la pièce et déballons notre pique-nique. Stupeur. Jamais, en 7 ans de bons et loyaux services au self, nous n’avions vu un pique-nique aussi garni ! Pendant le repas, Marie commence à carburer pour écrire le script de la voix-off qui viendra s’ajouter à la bande-annonce tandis que les aliments s’échangent gaiement selon les préférences et les goûts de chacun. Avant la fin de la pause, nous clôturons notre repas et nous nous échappons afin de nous remettre au travail.

13h07 : La pause est officiellement terminée et la compétition bat de nouveau son plein. Nous faisons face à un nouveau problème technique : les fichiers transférés refusent catégoriquement de s’ouvrir dans Imovie. Catastrophe ! Certains sont paniqués mais Adrien est d’un calme olympien. D’ailleurs, il ne prend pas plus de 20 minutes pour résoudre le problème par un tour de passe-passe que lui seul a compris tandis que Marie s’attelle à la rédaction du script. Heureusement que nous avons emmené notre expert informatique ! Pendant ce temps, et alors que le cerveau de Marie commence sérieusement à expulser de la fumée, Cloé, assistée de Thomas, réalise l’affiche explicative. De notre lycée terrifiant et déshumanisé, Marie construit toute une société basée sur la technologie dématérialisée et l’absence totale de relations humaines sur les judicieux conseils de Thomas, notre expert en géopolitique qui insiste sur l’idée de dictature de la pensée unique. Notre consommation définitivement excessive de M&M’S® inspire alors une idée lumineuse à notre scénariste en herbe : pour booster leurs compétences informatiques, nos lycéens du futur se verront obligés de prendre 3 pilules : 1 bleue, 1 rouge, 1 jaune.

14h04 : C. Clergue corrige ensuite le script de la voix-off alors que Marie, Fanny et Thomas partent dans un couloir vide derrière une porte dérobée pour filmer cette nouvelle partie du scénario. De leur côté, Cloé et Adrien ont bien progressé : l’une a créé une affiche à base de bulles à mots-clés et flèches directionnelles tandis que l’autre a trié et classé nos rushs et a commencé à les assembler pour construire notre bande-annonce finale. Pour parfaire notre bande son -car il était clair que nous ne pouvions pas filmer directement avec du son à cause du fond sonore ambiant- nous nous mettons à la recherche d’une musique appropriée. Thomas nous rappelle alors avec raison que nous devons faire attention qu’elle soit gratuite et libre de droit, c’est d’ailleurs lui qui tombe sur celle qui nous convaincra.

14h27 : Il nous reste 1/2h avant la fin officielle du concours, nous n’avons toujours pas de voix-off pour notre film et aucune idée de ce que nous allons dire à l’oral : c’est la panique ! C.Clergue part alors dans le couloir du silence avec Adrien pour enregistrer la voix-off et finaliser la bande-annonce tandis que Marie et Cloé s’attaquent au brouillon de l’oral grâce à l’aide précieuse de Thomas. Armées de feutres de couleur, elles résument leurs étapes de travail et le cheminement de pensée qui a aboutit à la bande-annonce finale. Tout ceci se fait dans la précipitation la plus totale mais… qui a besoin de temps, quand on a le talent ? 10 minutes avant la fin, Adrien revient victorieux nous présenter avec fierté notre œuvre commune. La trame écrite de l’oral se termine sur les chapeaux de roues : Marie gribouille rapidement une conclusion sur l’idée globale du projet alors que la dernière minute s’écoule… Juste à temps !

15h01 : Fin officielle du concours : tout le monde pose les stylos tablettes ! Épuisés mais assez fiers de nous, nous exigeons de visualiser la version finale de la bande-annonce. Elle est parfaite. Il est à présent temps pour nous de présenter notre travail devant le jury. En attendant, Cloé et Marie repassent rapidement leur texte pendant qu’Adrien et Thomas tournent en rond comme des lions en cage. Le premier jury s’avance vers nous, nous sommes légèrement intimidés et déstabilisés : par quoi commencer ? Nous décidons de leur montrer d’abord la bande-annonce et nous poursuivons par l’oral et l’affiche. Cela semble les faire rire… tant mieux si notre vision « relativement » pessimiste les fait sourire ! Rassurés par ce premier passage concluant, nous accueillons avec chaleur le prochain en tentant mine de rien de leur proposer de nos fameux M&M’S® dont la réputation a déjà fait le tour des participants. Après avoir vu les deux jurys, nous nous préparons à recevoir les résultats et attendons un petit moment. Nous ne sommes pas très inquiets, du fait de l’absence du 3ème lycée, nous serons au moins 2ème et n’en demandons pas beaucoup plus…

15h34 : C’est l’annonce officielle des résultats, les sponsors se sont amassés à la lisière de l’espace qui nous est accordé et chaque équipe serre les rangs. Quoi qu’il se passe maintenant, nous savons que nous pouvons être fiers du travail que nous avons réalisé et l’étincelle qui brille dans les yeux de nos accompagnatrices nous le confirme : nous avons fait du bon travail. Clairelle tente de faire durer le suspense mais peu-à-peu les résultats tombent. Nous applaudissons à tout rompre chacune des équipes mais regrettons de ne pas pouvoir visionner leur travail. Vient l’heure du résultat pour le concours lycée : la première équipe appelée est la nôtre, nous serons donc 2ème. Pas déçus pour deux sous -c’est la place que nous visions-, nous nous levons avec enthousiasme pour aller chercher nos lots et notre beau trophée. Notre photo des vainqueurs est d’ailleurs éclairée de nos sourires victorieux.

16h12 : Tous les résultats ayant été annoncés, nous levons le camp, lestés des sacs de cadeaux offerts par les partenaires. Nous rejoignons à pied nos véhicules sous les regards curieux des dijonnais qui fixent notre impressionnant paquetage. Puis, nous empilons nos affaires nouvellement acquises dans le kangoo et nous nous répartissons les pauvres gâteaux de C.Clergue dont personne n’a voulu avant de nous entasser à notre tour dans le vieux véhicule direction Cluny !

17h03 : Le trajet du retour est relativement calme : cette journée haute en couleur nous a tous crevés et le silence règne dans la voiture.

18h31 : Arrivée au lycée : nous déchargeons la voiture et nous nous séparons. Cette journée aura été riche en émotions !

Participer au concours oui, mais pour gagner quoi ? 1/3

Merci à Educ’arte qui a offert deux abonnements établissement à son service dont vous trouverez une description ci-dessous

Chers enseignants,
Imaginez.

Vous êtes chez vous, vous devez préparer un cours sur la 1ère guerre mondiale et vous auriez bien besoin de visionner deux ou trois vidéos sur le sujet pour vous remettre à jour.

Vous êtes en classe, vous essayez d’intéresser vos élèves à la chimie et vous voulez les réveiller en diffusant un extrait d’un documentaire sur les découvertes de Marie Curie.

Vous souhaitez travailler en classe inversée sur Molière et demander à vos élèves de regarder chez eux un extrait de « L’Avare » pour en discuter ensuite en classe.

Vos élèves doivent faire un exposé sur les volcans et vous souhaitez qu’ils puissent visionner des vidéos pour se documenter et en intégrer des extraits lors de leur présentation à l’oral.

Pour tout ça (et bien plus encore), ne cherchez plus, Educ’ARTE est là.

Educ’ARTE est la ressource éducative de la chaîne ARTE. L’idée est venue des enseignants eux-mêmes : amoureux du Dessous des cartes ou autres magazines et documentaires d’ARTE, nombre d’entre eux demandaient à la chaîne ces dernières années une solution pour utiliser ces vidéos dans leurs cours.

ARTE a donc créé Educ’ARTE il y a tout juste deux ans. Dédiée aux enseignants et à leurs élèves de la primaire au lycée, la ressource est accessible en classe, au CDI et à domicile. Et aucun jaloux dans votre établissement puisqu’Educ’ARTE couvre toutes les disciplines scolaires.

Concrètement, Educ’ARTE offre  l’accès à :

  • +850 vidéos parmi le meilleur d’ARTE : documentaires, magazines, animations, fictions et spectacles
  • Des outils pour intégrer ces vidéos à des cours en créant ses propres extraits, cartes mentales ou vidéos annotées
  • Des fonctionnalités pour favoriser l’apprentissage des langues : 80% des vidéos sont accessibles, et bientôt sous-titrées, en français et en allemand (ARTE oblige) ; une partie des vidéos sera accessible, et sous-titrée, en anglais dès janvier.

Cerise sur le gâteau : Educ’ARTE met également à disposition des enseignants des formations en ligne, des fiches pédagogiques et des tutoriels vidéo pour les aider à utiliser la ressource.

Educ’ARTE est accessible sur abonnement de l’établissement et le prix varie en fonction du nombre d’élèves. Si vous voulez tester gratuitement la ressource pendant 1 mois ou demander un devis, une seule adresse : educarte@artefrance.fr.

Et pour en savoir encore plus sur Educ’ARTE, n’hésitez pas à regarder la vidéo de présentation (le lien ici).

Participer au concours, mais pour gagner quoi ? 2/3

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Benjamin Viaud, Eymeric Taelman et Ludovic Meyer ont fondé Beneylu en 2008, à la fin de leurs​ ​études​ ​d’ingénieur​ ​pour​ ​“rendre​ ​l’école​ ​encore​ ​plus​ ​chouette”.
Beneylu s’appuie ​sur les réseaux existants de l’élève : son professeur, ses parents et ses copains. La plateforme en ligne propose des services évidents, intuitifs et sécurisants pour bien​ ​travailler​ ​à​ ​l’école​ ​primaire.
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