Le vendredi 10 mai 2022, avec nos coordonnatrices MLDS Catherine Baillet & Pilar Courtin , nous avons eu l’occasion de faire une visite guidée de la ville de Joigny par l’animateur de l’architecture et du patrimoine de Joigny et du Jovinien, Jean-Mathias Sargologos. Cette sortie avait pour but de parler encore une fois de la mobilité en général.
Dans un premier temps, nous avons visité l’Église Saint-Thibault de Joigny On a eu la chance grâce à monsieur Sargologos d’ avoir accès au clocher de l’église c’est-à-dire le toit, forcément on a eu une vue plutôt impressionnante. On était à 40 m de hauteur, et, bien sûr, on pouvait voir en grande partie la ville de Joigny. Nous avons parlé des moyens de transport qui étaient utilisés à l’époque comme les bateaux, le train et nous avons parlé de la manière dont les maisons était placées c’est-à-dire assez étroitement & collés entre-elles. On a également vu l’ancienne route principale qui allait directement à Sens,
On a également vu qu’on est été juste à côté de la forêt d’Othe et on a parlé des vignes de Joigny qui a rendu la ville riche à l’époque.
Ensuite, nous sommes rendus dans la cave du Baillis, sous les sous sols joviniens où on a pu découvrir déjà que c’était grand. On pouvait circuler de maison en maison en passant par les caves. A l’époque les caves étaient plus utilisées pour faire des réceptions et pour stocker les vins, donc on a pu voir des bouteilles de vins très anciennes sachant que cette cave date du Xe siècle.
Après, on s’est directement rendus à l’autre église, celle de Saint-Jean ou là, on a même vu un monsieur sur la tribune en train de jouer de l’orgue on a parlé aussi de Jeanne d’arc. Elle est en sculpture dans toutes les églises de France.
Moi personnellement, je n’ai pas aimé la sortie dans la tour de l’église car on est monté dans des escaliers trop étroits et, en plus, je suis claustrophobe donc ça m’aidait pas vraiment. J’avais également le vertige aussi ça n’allait pas, en plus , il y avait des araignées de partout ! J’étais très mal à l’aise mais heureusement il y avait Enora qui avait autant peur que moi ! du coup, j’étais pas seul !
Article écrit par Maël, jeune du Pôle Persévérance de Sens.
Nous sommes retournés au musée pour la 2ème visite prévue. C’est Doriane qui nous a reçus accompagnée par Monsieur Sylvain CHARLES, ancien professeur d’histoire-géographie qui est coordonnateur de la classe-relais de Sens et qui travaille aussi aux Musées de Sens.
En premier lieu, nous sommes allés à la cathédrale Saint-Etienne qui est juste à côté du musée. Les deux bâtiments sont collés et il y a un escalier qui les relie.
C’est une cathédrale gothique, la première construite en France. Sa construction s’est faite de 1135 jusqu’en 1515. Elle a donc été construite sur plusieurs siècles. Pourquoi une cathédrale à Sens ? Sens était une province ecclésiastique importante
.
La cathédrale a plusieurs liens avec la mobilité :
Il n’y avait pas de pierre sur Sens, il fallait aller les chercher à 60 km au sud de Sens. du coté de Troyes. Les ouvriers et architectes qui ont travaillé à sa construction venaient de toute la France. De nombreux corps de métier ont participé à sa mise en œuvre.
Il manque une tour à la cathédrale, la tour sud qui a brûlé n’a jamais été reconstruite. La cathédrale fait 122 m de longueur et 78 m de hauteur à la tour sud.
Durant notre visite à l’intérieur, on a vu des personnages importants de l’Histoire comme Thomas Becket, un archevêque qui voulait rendre la cathédrale forte. Cela ne plaisait pas à Henry VIII.
La cathédrale est riche en architecture. Il y a plusieurs styles représentés : on s’en rend bien compte en regardant les différents plafonds(ou différentes voûtes) mais l’ensemble est harmonieux. Elle possède de magnifiques vitraux qui servent à faire rentrer la lumière.
Il y a des gens qui ont été enterrés dans la cathédrale notamment le Dauphin et la Dauphine dont on voit le mausolée dans une chapelle
On a appris que seul le prêtre pouvait entrer dans le chœur de la cathédrale. Les moines devaient chanter toute la journée sinon le Pape n’était pas content. (note de Doriane : « pas mal l’anecdote même si le pape n’était pas tous les jours dans la cathédrale de Sens »).
Il fallait 16 personnes pour faire sonner la cloche.
On a fini la visite par un challenge. Il fallait trouver la tête d’un donateur cachée dans un endroit quelque part à l’entrée de la cathédrale. La légende dit que si on ne la trouve pas, cela signifie que l’on a mal visité la cathédrale.
On l’a trouvé ! On a bien visité la cathédrale alors grâce à Doriane et Sylvain !
Dans la dernière partie de la visite, nous sommes retournés au musée pour aller voir le Trésor de la cathédrale : des objets religieux précieux en rubis, émeraudes, en or, en ivoire, qui venaient de plusieurs pays. On a vu plusieurs reliques : des coffres ou des poches (bourses) qui contiennent des restes humains. On a vu des habits religieux et on a appris que c’est un musée très riche en tissus précieux.
Par contre, on n’a pas pu prendre des photos dans la salle du trésor de la cathédrale. Il faut demander une autorisation.
Ce que nous avons pensé de cette visite :
« Dans la cathédrale, on a marché sur des morts et cela pouvait être perturbant.
Sinon j’ai aimé apprendre comment s’est construite la cathédrale. J’ai aimé les plafonds. Cela devait être bien de travailler en hauteur. »
« On a eu froid dans la cathédrale. On s’est senti tout petit. J’ai tout aimé en particulier les tableaux au musée. »
« C’était bien. C’était intéressant de savoir que tout n’a pas été créé d’un coup, cela a pris du temps ! »
« J’ai bien aimé. C’était intéressant. J’ai bien aimé l’histoire sur Thomas Becket voir les reliques. Cela m’a cultivé. »
« J’ai bien aimé Thomas Becket. J’ai bien aimé le côté enfer/paradis sur les vitraux. J’ai été déçu par le Trésor de la cathédrale que je pensais plus beau. Je m’attendais à un vrai trésor ! »
On se pose des questions :
Comment on nettoie les tissus, les vêtements ?
Réponse à venir.
Pourquoi la tour nord a brulé ? Pourquoi on ne l’a pas reconstruite ?
Doriane a trouvé ceci : en 1267, il ne reste que le troisième étage de la tour nord à construire, lorsque le dernier étage de la tour sud s’effondre. La priorité est donnée à la réparation des dégâts assez conséquents. Ce n’est qu’au XIVème siècle que la tour nord sera coiffée d’une charpente en bois recouverte de plomb et d’une flèche : elle prend le nom de « tour de plomb ». Une fusée de feu d’artifice incendia le sommet de la tour de plomb en 1744. La charpente recouverte de métal fut supprimée un siècle plus tard. En 1845 la tour de plomb est tellement dégradée qu’elle est supprimée, un comble provisoire recouvert de tuiles est installé.
Article écrit par les jeunes du Pôle Persévérance de Sens. Merci à Doriane NAKACHE, médiatrice culturelle pour ces corrections.
« Jules » , élève de 3ème générale, n’a pas supporté le confinement. Il n’a pas été capable de suivre les cours en distantiel. Refusé sur tous ces vœux de 2de pro, sa mère a demandé le redoublement. A la surprise de sa famille, il a néanmoins obtenu son DNB et dès lors, il s’est complément démotivé sur sa deuxième 3ème générale.
Accueilli sur la MLDS suite aux ES de septembre 2021, Jules n’a pas de projet professionnel mais il sait qu’il n’aime pas l’école et qu’il souhaite choisir l’alternance. La vente l’intéresse : il fait un premier stage en prêt-à-porter : la vente lui plaît mais il s’ennuie. Il découvre une vente plus technique en faisant un stage dans un magasin de jouet. Il hésite… ne sait plus… me parle de plombier, d’agent immobilier, de pompier, de l’armée,… En formation, il fait le travail demandé mais il est souvent replié sur lui-même, la tête entre ses mains. Il dit souvent qu’il n’est pas social mais il se présente plutôt comme leader dans les exercices de groupe. Je lui propose de prendre rendez-vous avec le CIO au retour des vacances. Les vacances de février arrivent : Jules habite un petit village et pour qu’il ne se replie pas sur lui-même et sur les jeux vidéos, étant seul à la maison la journée, les parents lui proposent d’aller chez le grand frère qui habite à Dijon. Il découvre la « grande » ville, ses animations, ses cinémas,… se confie à sa belle-sœur sur ses doutes, sa peur de finir encore l’année sans projet, sans rien. Sa belle-sœur lui propose, pourquoi pas, de faire un stage là où elle travaille. Il rencontre le Directeur associé de meubles à XXXX. Je le retrouve en formation juste après les vacances : il est métamorphosé, me parle avec enthousiasme du magasin, de l’entretien qu’il a eu avec le directeur, des références de modularité de tous les canapés qu’il faut apprendre par cœur… alors qu’il n’a pas encore commencé son stage !, qu’il doit aller acheter un pantalon noir et des chaussures de ville ( lui que j’ai vu tous les jours de l’année en survêtement/basket ), que « Dijon c’est beau, c’est grand, ça bouge… » Il a très peur que la Principale n’accepte pas qu’il fasse un stage d’un mois à Dijon.
Tout a été très vite et s’est enchaîné : excellent stage, un Jules « investi, volontaire, qui a une réelle envie d’apprendre et qui percute bien ! », un jeune homme, transformé, nouvel habit, nouvelle posture ! Le responsable du magasin ne connaissait pas l’alternance : il a été séduit par la formule et les aides financières apportées à l’entreprise. Les parents recherchent aujourd’hui un studio proche du logement du grand frère.
Tout a été un peu trop vite pour la maman qui voit partir son « petit dernier du nid » qui a grandi trop vite… Elle s’est faite violence pour accepter ce projet mais elle voit son fils s’épanouir un peu plus chaque jour, lui téléphone chaque soir et elle a accepté que Dijon ne soit pas à l’autre bout du monde … !
Article écrit par Catherine Baillet, Coordonnatrice MLDS
Nous sommes partis mardi 23 novembre de 14 h à 15 h faire une enquête pour découvrir tous les métiers de la rue Thénard, la rue qui est juste à côté de l’établissement.
Par équipe, tiré au sort, il fallait circuler dans la rue et noter le nom de l’entreprise, le numéro de rue et tous les métiers que l’on pouvait trouver dans l’entreprise.
On a trouvé 87 métiers représentés par les entreprises que l’on a trouvé dans la rue, des métiers que l’on connaissait et des métiers que l’on ne connaissait pas : mercerie, bonneterie, laborantin, courtier, lithothérapeute, magnétiseur, une enseigne ancienne de forgeron, sexologue…. Certains ont été surpris de voir qu’il y avait un cabinet d’avocat dans la rue.
La sortie était sympathique malgré le froid. Elle nous a permis de découvrir les métiers.
Cette enquête nous a permis aussi de nous orienter et de comprendre comment étaient construits les numéros de rue.
C’était un travail d’équipe. Il fallait s’entraider et avoir de la cohésion.
Nous sommes rentrés et nous avons fait un débrief par équipe. Dans l’ensemble, on a réussi l’exercice mais on s’est aperçu qu’il y avait beaucoup plus de métiers que l’on pensait.
En cours , Madame Baillet nous avait demandé combien il existait de métiers : on avait dit entre 600 et 1000 métiers. Cet exercice nous a donc permis de découvrir que l’on ne connaissait pas beaucoup de métiers.
Madame Baillet nous a présenté le ROME, répertoire opérationnel des métiers et des emplois qui permet de découvrir 10 000 métiers .
On est partis le mercredi 10 novembre 2021 du collège Mallarmé pour découvrir le parc de la Ballastière.
On est partis en compagnie de Monsieur Pascal CRIEZ (professeur d’EPS ) et de notre coordinatrice MLDS , Mme Catherine BAILLET.
Nous avons fait un PPO, un parcours permanent d’orientation de 8h à 11h.
Dans la salle, au chaud, on a eu les instructions et on a essayé de comprendre la carte.
Dans un premier temps, Monsieur CRIEZ, nous a fourni un plan du parc de la Ballastière. Ensuite, avec ses explications de comment utiliser un plan d’orientation, il nous a donc fait faire des recherches de balises individuellement pendant une demi heure à l’entrée nord ouest. Puis, par la suite, nous nous sommes tous déplacés à l entrée sud du parc pour faire un travail collectif de recherches de balises en 45min à des places différentes sur ce plan.
Ce matin, il faisait 3 °. Il y avait énormément de brouillard et le sol était très humide. On nous avait conseillé de nous habiller chaudement mais certains avaient oublié les gants ! Et conseil d’ami, ne surtout pas vous habiller en survêtement blanc et attention là où vous posez les pieds !
Nous avons aimé cette sortie malgré le froid. Seul un d’entre nous connaissait le parc. On a appris à orienter une carte et à lire une carte.
Dans l’ensemble , avec le trajet aller-retour, on a effectué 12 539 pas soit environ 9 km.
Si vous aussi vous souhaitez organiser une session de PPO au parc de la ballastière avec votre famille ou vos amis, nous vous fournissons ici le lien du site du Syndicat d’initiative pour accéder au différent parcours :
L’éducation à la mobilité n’est pas enseignée à l’école, elle appartient à la sphère privée, familiale. C’est un enjeu important dans la construction du projet d’orientation de certains de nos élèves : maîtriser sa mobilité, c’est devenir autonome. C’est faire de vrais choix d’orientation et non des choix par défaut. Développer la mobilité géographique permet d’accéder à d’autres mobilités, mobilité culturelle, mobilité sociale, etc…
Les freins à la mobilité sont nombreux : le manque d’argent ( les déplacements, l’internat ont un coût conséquent ), le manque de moyens logistiques ( les parents sans véhicule, les réseaux de transport réduits), le manque d’habitude de déplacement ( par exemple, les parents qui n’ont jamais pris le train et reportent leurs peurs ou représentations sur leur enfant) et le manque de connaissances de l’environnement social ( certaines compétences et savoir-faire demandent à être apprises par nos élèves ( lecture d’un plan de ville, repérage d’un réseau de transport, etc… ).
Accéder à la mobilité est un processus qui prend du temps, qui demande que nous accompagnions les élèves sur cette voie mais également les parents ( qui parfois sont plus difficiles à convaincre que les enfants… ). Construire avec la famille une « addition de solutions » permet de lever petit à petit les obstacles qu’ils soient réels ou stéréotypés. Cette construction est un travail d’équipe. Nous devons vous appuyer sur l’expertise des professionnels qui sont le psy-EN, l’Assistante sociale, le Référent Décrochage Scolaire, etc ,….
La prévention du décrochage repose sur la synergie entre « un élève, un projet, une équipe ».
Sur l’année 2019-2020, les jeunes du Pôle Persévérance MLDS du collège Mallarmé et du lycée Davier ont travaillé à la réalisation d’une plaquette sur la mobilité. Cet outil réalisé par « des jeunes pour des jeunes » vise à développer une éducation à la mobilité et à faire évoluer les représentations et les clichés. Il a été validé au niveau académique et est financé par le FSE.
Ce flyer se présente sous la forme d’un 2 plis roulés et il a été imprimé afin de pouvoir être distribué aux élèves de 3ème et/ou 4ème de collège sur le réseau Nord Yonne pour l’année scolaire 2020- 2021 et sur l’ensemble de l’Académie de Dijon pour l’année scolaire 2021-2022. C’est dans le cadre de notre projet Mobil’Actions financé par le projet FSE Plan de prévention du décrochage et de persévérance scolaire 2018-2021 de l’Académie de Dijon que les flyers ont pu être diffusés à 48 000 exemplaires
Des interventions auprès des professeurs principaux de 3ème et 4ème ont été organisées sur le Réseau Nord Sénonais par la Coordonnatrice MLDS de secteur pour présenter ce flyer, des pistes d’exploitation en classe et échanger autour de la mobilité des élèves .
Nous vous invitons à découvrir ici la notice d’exploitation du flyer :
Les jeunes du Pôle persévérance de Sens et leur coordonnatrice ont l’honneur de vous présenter leur calendrier de l’après !
Calendrier de l’après quoi ? Surprise ! Il y a 31 surprises à découvrir !
Ce projet, déployé sur 5 mois, a été une bulle d’oxygène en cette longue période sanitaire anxiogène . Il a donné un sens aux apprentissages, créé une dynamique et une volonté de partager du positif !
Nous espérons que cette création numérique et artistique apportera un peu d’évasion dans ces temps difficiles.
Pour vous aider dans la navigation de ce calendrier interactif, cliquez sur le bouton « main » en haut à gauche, il vous indiquera les endroits d’interactivité sur la page où il y a quelque chose à voir ou à faire ….
On a fait 2 groupes de 3 personnes pour faire l’escape game . On a répondu à 4 épreuves de 4 séries, Certaines étaient plus faciles que d’autres. Il y avait des énigmes de calcul, de repérages, de géographie, de labyrinthe, de déduction, de raisonnement logique et un puzzle.
Pour trouver le coffre de Mr crâne on devait trouver la ville où il était caché et pour pouvoir ouvrir le coffre , il fallait trouver un code à 4 chiffres . Et dans celui-ci, on a trouvé des surprises ( des friandises, des livres et des petites sculptures d’animaux ) .
C’était pas mal, mais certaines questions étaient un peu difficiles. On a réussi le calcul, le labyrinthe, les villes… d’autres questions étaient plus dures. Par exemple, il fallait associer certaines spécialités culinaires avec des régions de France ou trouver des expressions françaises, ect…
On aimerai bien en refaire un mais sur un autre thème : ça nous apprend différemment la géographie, les maths et le français. Ca nous apprend aussi la persévérance.
Tous les élèves furent concernés par cette même énigme , « Où était donc cacher le coffre secret de Mister Crâne ? » On peut même dire Mister Crâne d’oeuf !
Pour se faire, nous dûmes nous séparer en 2 groupes et résoudre une multitude d’énigmes. Ces dernières étaient sous 4 catégories de 4 énigmes différentes ; toutes de difficultés et de niveaux différentes : réflexion, observation, calcul et autre .Toutes ces énigmes une fois résolues nous ont permis de découvrir la cachette et le code du coffre et ainsi nous permettre de l’ouvrir.
LOUIS : « J’ai vraiment bien aimé cet Escape Game, j’ai réfléchi sur toutes les épreuves, j’ai particulièrement adoré le côté compétition et énigmes qui me font perdre la tête. »
Nathan : « Cet «exercice» nous permet de persévérer dans le sens où il nous faut rester concentrer jusqu’au bout pour réussir ces énigmes. Il est fort amusant et ludique, je conseille cette activité. »
Irem: « Je trouve que cet escape game nous a aidé à nous entraider en équipe et réflechir tous ensemble. Ca nous a appris aussi à partager et échanger nos idées. C’était super amusant, il faut faire des activités comme ça de temps en temps. »
Article écrit par Maëva, Irem, Jamil, Louis et Nathan.
Escape game créé par Catherine Baillet, Coordonnatrice MLDS et Eve FOUBERT, Volontaire Service Civique.
Escape game proposé aux jeunes du pôle Persévérance MLDS de Sens et à une classe de 3ème du collège Mallarmé
Nous vous invitons à lire l’article de l’Yonne Républicaine qui présente « Rezo Pouce », un réseau solidaire de conducteurs et de passagers qui se développent dans notre département :