Les élèves de CE1-CE2 ont imaginé une suite à l’histoire « La chambre océan » de Eric Simard, étudiée en classe.
Le vendredi 24 juin 2016 un poussin est né à l’école (voir ici) dans le nid préparé par les élèves de CE. Il s’appelle Blaise, le poussin masqué.
Blaise va nous accompagner, en qualité de mascotte-officielle, durant tout notre voyage à Nantes.
Il a déjà fait la connaissance de toutes les personnes de la classe, et se montre un compagnon agréable et joyeux.
Vous pourrez suivre les Aventures de Blaise le Poussin masqué sur les traces de Claude Ponti à Nantes, en suivant la classe avec l’adresse twitter MEtigny.
Si vous n’avez pas encore de compte twitter, rien de plus simple puisque vous n’avez besoin que d’un ordinateur. Connectez-vous sur www.twitter.com, suivez la procédure indiquée et vous pourrez trouver le compte de la classe en tapant « MEtigny » et en cliquant sur « moineauxd’etigny ».
à Bientôt, du 27 juin au 1er juillet en direct de NANTES et du pays de Retz.
On a fait un blog et nous avons été très motivé. On aime ça.
On a beaucoup de matériel dans la classe pour faire plein de choses, dont 6 tablettes qui nous servent à publier nos articles. Ce qui nous motive, c’est les personnes qui regardent le blog et tout ce qu’on fait. Ça nous fait plaisir que le visiteurs nous lisent !
Comment fait-on ? C’est très simple.
Soit on travaille à plusieurs et alors on partage nos idées pour que ça fasse un bon article, ou on écrit seul sur un sujet qui nous plait.
Auteur : Enzo
À Bruxelles en ce moment il fait froid. Nous le savons car nous tenons en fil rouge une correspondance avec Lucie Cauwe (voir ici) qui habite dans la capitale belge. Au fil des jours, nous nous connaissons mieux sans nous être jamais passés un coup de fil ! Lucie et nous ne perdons jamais le fil et si des courriers tardent, c’est qu’on est tous sur le fil du rasoir.
Nous rencontrerons-nous pendant notre voyage à Nantes ? Ça ne tient qu’à un fil, celui du travail. Nous espérons que personne n’aura de fil à la patte et pourra se laisser vivre au fil de l’eau pendant 5 jours…
La préparation de notre voyage nous donne parfois du fil à retordre. Mais de fil en aiguille, nous avançons. Aucun de nous ne file de mauvais coton. C’est cousu de fil blanc : nous sommes en train d’inventer le fil à couper le Petit-beurre !
Auteurs : les CM
Marcel de Mars (voir catégorie 1, rue de l’école) rêve depuis son plus jeune âge d’aller sur Mars.
Ce matin (15.03.16), en écoutant la radio, Marcel de mars a entendu qu’un appareil de recherche était en route pour la Planète rouge. Le lancement a eu lieu lundi 14 mars 2016 (jour du Pi’day : 3.14 soit le « mars le 14 » en notation anglo-saxonne). Le but de l’expédition est de ramener des traces de vies micro-organiques carbonées sous forme de méthane, si elles existent. Le voyage durera encore 7 mois pendant lesquels la sonde aura parcouru 500 millions de kilomètres !
Marcel de Mars a hâte d’entendre des nouvelles de ces recherches.
Pendant le voyage du jeudi 11 février 2016 à Dijon, nous sommes passés dans la gare Les Laumes-Alésia. Il était 8h02. On aurait voulu passer à 7h52 car – 52 est la date de la bataille d’Alésia. Nous conseillons à la SNCF de modifier les horaires des passages de train dans cette gare afin que tous les voyageurs mémorisent la date de la bataille (1h52, 2h52, 3h52, etc…).
l’idée d’avoir placé un grand portrait de Vercingétorix sur le silo est bonne, mais ça ne suffit pas : on suggère à la coopérative agricole d’écrire la date et de s’associer à la SNCF pour modifier les horaires !
Nous avons appris que 2016 est un nombre triangulaire. Savez-vous ce que c’est un nombre triangulaire ? Suivez nous :
Voici une photo de 2016 points disposés en triangle équilatéral. Un nombre triangulaire, c’est cela : un nombre qui peut répartir chacune de ses unités sous cette forme.
Pour calculer ce nombre triangulaire, on a vérifié que 1 + 2 + 3 + 4 + ….. + 61 + 62 + 63 = 2016.
Toutes les lignes dessinées ont un point de plus sur chaque ligne. Ce dessin correspond bien à l’addition que nous avons faite : sur la ligne du haut, il y a 1 point, alors que sur la dernière ligne, il y a 63 points. Pour trouver la somme 2016, on a additionné toutes ces lignes !
Peut-être avez-vous déjà vécu une année triangulaire ? Et quelle sera la prochaine année ?
Nous attendons vos calculs et à vos commentaires !
Bonjour et Bienvenue sur le blog de la classe des CE2-CM1-CM2 de l’école d’Étigny.
Nous allons commencer notre travail de géographe dans notre classe et essayer toute l’année de parcourir le monde. Pour partir à sa découverte, nous irons aussi à la rencontre de géographies imaginaires et de temps révolus. Nous chercherons comment, au fil du temps, les hommes ont cherché à représenter les espaces. Et avec leurs connaissances, nous chercherons à vous présenter le notre.
Notre mission de géographe est de mieux comprendre les hommes et les mondes qu’ils habitent et construisent.
Vous entendrez peut-être parler de votre ville ou de votre village, de sujets qui vous intriguent ou vous passionnent ; n’hésitez pas à entrer en contact avec nous !
Nous vous invitons maintenant à entrer dans notre univers.
Bon voyage !
fff
Dans le planetariume au plafond il y a un écran est par terre il y a une maquette de machine au planétarium nous avons appris qu’il y avait peut-être neuf planètes 153 million d’etoile dans la galaxie 155 million de Galaxy le soleil chauffe à 6000 degrés le soleil = une étoile moyenne chauffe maximum de 34000 degrés. Dans le système solaire il y a 5 planète gazeuse Vénus et très incroyable invivable parce que écouter et exposer au soleil il fait très chaud l’autre côté les pas exposer au soleil et il fait très froid sur Mars nous croyons qu’il fait très chaud mais en fait il fait froid mais pas partout sur Mars il y a aussi des volcans télé sur Mars il y a quelque chose d’extraordinaire avant il y avait des marées maintenant il n’y en a plus de traces d’eau plus rien il y a un volcan énorme sur mars si on le découper la distance du volcan prendrait toute la france Jupiter est très dangereuse parce que quand il pleut au lieu d’être de la pluie c’est de la l’acide.
Au total si ont les compterais toute il y aurait 88 constellation dont les principales sont la Grande Ours et la Petite Ours.
Le Dragon,le Lion,le Petit Lion,le Lynx,le Corbeau,le Cancer,le Bélier,le Lézard,la Girafe,le Petit Chien etc…
Lundi soir nous avons découvert le centre d’hébergement. Quand nous l’avons vu nous étions tous surpris : le centre d’hébergement était super grand, il y avait deux maisons. L’une des maisons était où on dormait et l’autre où on mangeait. Le premier jour, nous avons dû installer les tables. Nous avons découvert nos chambres. Les chambres était grandes ; dans la chambre de mon groupe et moi, il avait deux lits superposés et deux lits séparés. Il y avait aussi deux pelouses, l’une où il y avait des jeux et du sable et l’autre une grande pour jouer au foot. Arthur a emmené deux ballons. On a beaucoup joué au foot le soir quand on rentrait des activités. Mercredi soir, les neveux de Xavier sont venus au centre d’hébergement avec le frère et les parents de Xavier.
Auteur : Baptiste (CM2)
Le vendredi 1er juillet de notre voyage, nous sommes allés au Jardin des plantes de Nantes. Nous sommes arrivés à l’Orangerie. Là-bas nous avons vu un poussin allongé par terre avec tous les pompons sur lui, et sur les murs il y avait plein de visages de poussins avec des décors autour. Des visages de poussins étaient aussi exposés dehors sous forme de bannières. à l’intérieur de l’Orangerie, il y avait le Mange-poussins. C’est un personnage de Claude Ponti qui dévore les poussins. Il fallait neutraliser le Mange-poussins. Dix élèves avaient une balle de tennis ; ils faisaient entrer la balle dans un tuyau. Ils tournaient ensuite la manivelle : une grande chaine de vélo était actionnée et à un endroit de la chaîne était fixée une sorte de coupelle qui ramassait les balles à la sortie du tuyau. En haut, un autre tuyau recevait les balles et les faisait tomber jusqu’au bout du tuyau où elle étaient stoppées. Une autre manivelle était tournée par un élève pour faire tomber les balles sur un tonneau pour bombarder le Mange-poussins.
Auteur : Cristiano (CM1)
Lundi 27 juin, nous avons fait une journée intéressante avec la visite du musée de l’imprimerie. On a vu des lettres à l’envers, c’est normal parce qu’après, dans la machine, les lettres reçoivent de l’encre et tamponnent une feuille ce qui remet la lettre à l’endroit. On peut imprimer de jolis textes comme l’hommage au texte Le nègre de Surinam que nous avons écrit en classe et qui a été imprimé devant nous.
Auteur : Ambre (CE2)
Nous sommes allés au musée de l’imprimerie voir d’anciennes méthodes d’imprimerie comme les caractères mobiles. Les caractères mobiles ont été inventés par Gutemberg au XVe siècle. Le principe : les imprimeurs avaient une casse pour ranger les caractères mobiles, ils devaient la connaître par cœur. Ils disposaient les caractères sur un composteur pour écrire les mots et les phrases. Une fois qu’une phrase était terminée, ils fermaient le composteur ; ils devaient le prendre avec deux doigts et serrer très fort en enroulant de la ficelle sans que tout tombe par terre. Ils recommençaient jusqu’à finir une page. Tous les composteurs étaient disposés les uns au dessus des autres de la première à la dernière phrase. Ensuite, ils encraient les lettres et imprimaient sur une feuille.
La linotype
La linotype utilisait les caractères mobiles : on tapait sur un clavier, les lettres descendaient, à la fin de la phrase l’imprimeur vérifiait l’orthographe. Si l’orthographe était bon, la matrice descendait et recevait un alliage sorti d’un chaudron chauffé à 280°. Il durcissait très vite et on disposait d’une phrase. Les matrices retournaient à leur place et l’imprimeur recommençait ainsi de suite jusqu’à avoir toutes les phrases qui constituaient son texte. Nous avons eu la possibilité d’avoir une démonstration de la linotype.
L’imprimeur nous a aussi fait une démonstration de la presse à cylindres. C’est une énorme presse qui servait dans le temps à faire des journaux ou des affiches et des livres.
Le guide a aussi imprimé avec une presse à platine le texte que nous avons fait en classe. Il en a tiré 31 exemplaires.
Auteur : Arthus (CM1)
À Nantes on est allés aux Machines de l’île. C’est un endroit où il y a beaucoup de machines comme l’éléphant. L’éléphant est un peu comme la mascotte de l’île. Il y a aussi un carrousel avec trois parties : une représente la surface de l’eau, une autre les abysses et la troisième les fonds marins. Dans ce carrousel, nous avons fait un tour à la surface de l’eau (étage supérieur). Moi j’étais sur les chevaux marins : la moitié du corps était un cheval et l’autre moitié une sirène. Il fallait que je fasse bouger les deux pattes avant en utilisant une manette à gauche et à droite. Dans le manège ce sont les visiteurs qui actionnent les éléments.
Dans 5 ans, sur l’île des machines sera installé un Arbre aux hérons.
Auteure : Oriane (CE2)
Nous avons vu les photos du dragon-cheval qui crache de l’eau et du feu. Après nous sommes allés dans les ateliers de construction. C’est là où sont construits les prototypes des machines qui seront installées dans l’Arbre aux hérons. Dans les ateliers toutes les machines sont de taille réduite. En premier, ils nous ont montré comment fonctionnaient les hérons. Ils ont pris deux cobayes dans le public. Enzo a été choisi. Le héron sera très grand. Dans l’Arbre aux hérons il y en aura deux. Après nous avons vu la fourmi géante. Elle a porté 5 cobayes : Marie-Noelle, Baptiste et Oriane l’ont manœuvrée. Ensuite nous avons vu l’araignée géante. En dernier, nous avons vue la chenille ; en cobaye a été choisi Louis. La chenille est spéciale car elle a un exosquelette. Un exosquelette est squelette extérieur pour les animaux qui n’en possèdent pas à l’intérieur (comme les crevettes). Cette chenille est aussi spéciale car la machine est son squelette intérieur.
Auteure : Enora (CE2)
Le matin nous sommes restés au centre d’hébergement. L’après-midi nous avons fait du char à voile. Au début, pour apprendre, on devait faire un parcours. Le voici :
Après on avait un autre parcours.
Pour moi ce n’était pas du tout compliqué, en revanche pour Agnès c’était un peu plus compliqué car au moment de tourner au drapeau jaune, elle est tombée sur les deux roues arrières (hi ! hi !).
Auteure : Elsa
Le char à voile a trois roues, une voile et une corde qu’on appelle un bout. Si tu veux aller vite, il faut tirer la corde pour tendre la voile. Si tu es à pleine vitesse, pour t’arrêter il faut lâcher la corde.
Auteur : Fabio (CE2)
Comment faire du char à voile ?
Le char à voile n’est pas difficile mais il faut quand même être très prudent car si on va trop vite ça lève la roue et on peut se blesser très fort. Passons aux explications : dans un char à voile il y a un palonnier pour poser les pieds et diriger de droite à gauche, il y a aussi une bout et quand on tire dessus ça nous permet d’avancer. Il y a un autre détail : si vous voulez vous reposer un peu, il faut mettre le char face au vent. Il faut porter des gants pour en faire.
Auteure : Marie-Noëlle (CE2)
Mercredi, nous sommes partis en bus sur la plage de Saint-Brévin. Deux personnes nous ont accueillis et nous ont expliqué les règles et le fonctionnement d’un char à voile. Ensuite, on s’est mis par binôme selon notre gabarit. Puis l’un des deux messieurs nous a fait un schéma sur le sable.
Nous avons réalisé ce partir une ou deux fois chacun. Puis la même personne nous a fait un nouveau parcours :
Auteur : Matys (CM2)
Etienne Jules Marey est un Bouguignon, il est né le 5 mars 1830 à Beaune. Il travaillait très bien, il eut des idées originales ; le père de Jules voulait que son fils soit médecin, Jules voulait respecter la volonté de son père mais il rate son concours. À 44 ans le Bourguignon part dans différents pays d’Europe. À 50 ans Jules arrive à Naples où il vivra 15 ans. Plus tard Jules rentrera en Bourgogne. Le Bourguignon fera des recherches sur l’acoustique, la phonétique, la radiologie et l’aédrodynamisme…
Auteur : Baptiste
LES EXPERIENCES DE MAREY
Marey a fait des expériences avec des animaux. Il a cherché à comprendre le mouvement. Il a pris des photos très très rapprochées, il a réussi à créer un système pour prendre 20 photos en 1 seconde : son appareil faisait des photos automatiquement avec une vitesse étonnante… À chaque fois que les oiseaux bougeaient, il faisait une photo. Grâce à Marey le cinéma pu être inventé parce que le cinéma c’est de la chronophotographie sur pellicule.
Auteur : Enzo (CM2)
LES LABORATOIRES DE MAREY
Marey était un professeur-chercheur. On lui a prêté beaucoup de laboratoires pour qu’il fasse ses recherches, reçoive ses amis et aussi pour qu’il donne des cours à ses élèves. Il a été nommé directeur du laboratoire de physiologie de l’école des hautes études.
En 1867, Marey donna des cours au Collège de France, un établissement de haute réputation et en 1869, il devint titulaire de la chaire d’histoire naturelle.
Je me suis intéressé au mot chaire. Il vient du latin cathédra qui deviendra plus tard le mot cathédrale. Mais pour le mot chaire, il deviendra le mot chaise.
Une chaire est une chaise qui sert à parler à une assemblée en étant vu de tous (chaise en hauteur, chaise surélevée.
Auteur : Axel (CM2)
MAREY ET LE CHOLERA : TEMOIGNAGE DANS LA LITTERATURE
Le texte sur lequel j’ai travaillé est extrait du roman de Jean Giono, Le Hussard sur le toit.
L’auteur, qui vit au XXe siècle, décrit une épidémie de choléra qui s’est répandue dans le sud de la France en 1832. Il dit que l’épidémie peut se produire sur les terrains d’air brûlant et gras, et qu’il peut aussi être disséminé dans l’eau potable ce qui la rend non-potable (sans qu’on le sache). À cause de ces bactéries les gens attrapent le choléra. Ils deviennent malades parce qu’ils boivent l’eau de la rivière ou sont en contact les uns avec les autres. La maladie est très contagieuse.
Etienne-Jules Marey a cherché le moyen d’ arrêter les épidémies de choléra avec Louis Pasteur (chimiste et biologiste français inventeur du vaccin contre la rage (1822-1895)). Tous les deux ont découvert qu’il ne fallait pas utiliser l’eau des régions contaminées mais d’autres eaux pour ne pas tomber malade et vivre dans de bonnes conditions d’hygiène.
Auteur : Cristiano
UNE RECHERCHE GRAPHIQUE A PARTIR DE LA COURSE DE CHEVAUX
Nous avons dessiné des portraits des chevaux à partir d‘une vidéo de course hippique. Nous avons fait un dessin par élève de la classe. Aucun dessin ne correspond aux positions qu’ont les chevaux dans les tableaux que nous avons regardés.
Auteurs : Léandre, Fabio, Esteban, Théo