Archives de catégorie : Les mobilités subies

Les pom-pom girls nord-coréennes ou le sourire des prisonnières

Source : l’Express

Ces dernières semaines, l’Agence France Presse (AFP) a mis en ligne une vidéo où l’on voit un cortège de pom-pom girls nord coréennes qui arrivent en Corée du Sud pour encourager leur équipe nationale pour les JO d’hiver 2018.

https://www.youtube.com/watch?v=D3SSavo3tTw

Il s’agit là d’une mobilité tout à fait particulière, les jeunes femmes étant ici au service du régime dictatorial du dirigeant Kim Jung Un. Leurs mouvements « mécaniques » tendent à effrayer les sud coréens qui n’ont pas souvent l’occasion de côtoyer leurs voisins du Nord.

Pour beaucoup d’observateurs internationaux, il s’agit là d’une tentative de séduction du régime nord-coréen (les Coréens du sud les appellent « l’armée des beautés ») qui masque cependant mal la discipline de fer et le carcan qu’il inflige à toute sa population, et particulièrement à la jeunesse.

La frontière entre les deux Corées

La création de la frontière entre la Corée du Nord (République populaire démocratique de Corée) et du Sud (République de Corée) est le résultat de la guerre entre ces même républiques. En effet, à cause de la Seconde Guerre Mondiale et de la guerre froide, la Corée est divisée en deux parties égales depuis 1948, formant ainsi la Corée du Nord et la Corée du Sud. Si leur relation est si tendue, cela est dû à leurs divisions politiques et idéologiques. La frontière est surveillée par des milliers de soldats qui diffusent de la propagande. Les migrations se font de façon Nord/Sud. Pour la première moitié de 2017, la Corée du Nord a connu « une baisse de 20,8% » des départs, soit moins de 593 personnes. La plupart des transfuges sont des femmes (85%).

Source : cnn.com

Les raisons de ces migrations sont « la dictature, la faim, les persécutions et les camps de travail ». Certains coréens vont en Chine mais sont renvoyés dans leur pays, car considérés comme « migrants économiques et non politiques ». La Chine n’a pourtant pas le droit au retour de force. En effet,  » le droit international interdit le retour forcé d’une personne dans son pays lorsqu’elle risque de mauvais traitements ». Certains soldats vont même jusqu’à passer la frontière pour aller en Corée du Sud. La Chine prévoit de construire des abris pour réfugiés en cas d’attaque américaine ou que le régime de Pyongyang s’effondre.
La frontière commence de la plage de l’Est et court jusqu’à la plage de l’Ouest. Elle sépare les deux Corées en deux au milieu. Elle contient 4 tunnels. Cette frontière est la plus surveillée au monde (devant la frontière États-Unis/Mexique) et la plus dangereuse au monde.

Carte de la frontière entre les deux Corées

Mais pour la première fois de l’histoire, ces deux république vont se faire la paix pour que chacune participe aux Jeux Olympiques d’hiver de 2018 en Corée du Sud. Cette alliance pourrait entraîner la réconciliation des Corées. Du 9 au 25 février, le ministre de l’unification sud-coréen a passé des discussions avec le président de la commission de la réunification pacifique nord-coréen laissant un espoir d’apaisement.

Sources : Wikipédia, wordpress.com, humanium.org, l’édition du soir, vikidia, le monde.fr

Tanguy B. & Tristan D.

L’accueil des migrants en Allemagne

En septembre 2015, Angela Merkel a ouvert les frontières de l’Allemagne aux réfugiés. Ce pays accueils 1 million de réfugiés venant des Balkans ce qui est un record en Allemagne. Il a également accueilli, avec l’Angleterre et l’Espagne, plus de la moitié des migrants qui ce sont réfugiés dans l’Union Européenne en 2006.
Le premier mois de l’ouverture des frontières a été une dure épreuve car plusieurs familles ont été logées plus longtemps que prévu. Le gouvernement de madame Merkel n’a pas abandonné sa politique d’accueil. L’état fédéral a dépensé en 20 millions d’euros 2016 et a réparti les demandeurs d’asile selon la richesse des états. Cependant, l’état fédéral Allemand n’a pas reproduit la même erreur qu’en 1960 avec « les Gastarbeiters » (travailleurs invités) qui n’ont pas été correctement intégrés. Pourtant, les allemands ne seraient pas aussi bienveillants si leur situation économique n’était pas favorable, en effet, l’AFD (parti populiste anti-migration),a obtenu ces meilleurs scores dans les régions où le taux de chômage est le plus élevé, notamment dans les régions victimes de la désindustrialisation (ex l’ex Allemagne de l’est qui a reçu le plus petit nombre de réfugié, est où le rejet est le plus évident). « Quand quelqu’un m’adresse la parole c’est pour me dire des mots que je n’ose pas vous répéter», explique Tasneem, une syrienne de 19 ans. Ce qui a fait fuir les 3/4 des 19 000 réfugiés de la région du Mecklembourg vers d’autre états. Mais tous les réfugiés ne peuvent pas quitter leur état d’accueil à cause de la loi sur l’intégration qui a été votée en 2016, les obligeant à rester 3 ans dans leur région actuelle sauf s’ils ont trouvés un emploi. Cependant, ils seront renvoyés chez eux si la guerre cesse.

Source : lemonde.fr

La chancelière Angela Merkel fait un selfie avec un migrant devant un camp de réfugiés à Berlin, le 1à septembre 2015.

Même si l’ Allemagne est dynamique au niveau économique, la démographie reste un problème majeur. La cohabitation des cultures différentes sera une source de tension. Les migrants qui vont en Allemagne ne veulent pas forcement passer en Angleterre ou d’autre pays mais veulent vraiment rester et s’intégrer. En 2 ans ce pays a accueilli plus 1 million de réfugiés. Après la forte crise de 2015, le gouvernement a voulu rendre le droit d’asile moins attrayant pour conclure un marché avec la Turquie pour réduire le flux migratoire en provenance de Syrie et d’Afghanistan. La politique de la chancelière qui est dictée a fait progresser l’AFD. Mme Merkel qui est prudente et pragmatique a pris un gros risque en ouvrant les frontières en 2015 au risque d’avoir à dos les pays d’Europe centrale et de l’est qui veulent fermer les frontières. Angela Merkel est tombée à 45 % de popularité. En 2015, il a un risque que la xénophobie augmente et que l’extrême droite gagne du terrain. En janvier 2015 on a enregistré 1,3 million de demande d’asile. «Le chemin a été long et difficile mais nous sommes parvenus a un stade ou la question des réfugiés n’est plus un élément négatif pour Merkel dans sa campagne électorale». L’Allemagne nous a démontrée se qui était possible. Merkel assume totalement sa décision de 2015 cependant son discours a changé car elle dit, « Ce qui ses produit il y a 2 ans ne peu pas et ne doit pas se reproduire».

En 2016, les demandes d’asile ont chuté cela a entraîné que l’Ankara s’engage a réduire le départ de migrant en Europe. Pour les migrants, l’Allemagne est la première destination. Les adversaires d’Angela Merkel, disent que s’est la fermeture des frontières qui a fait chuter le flux de migration. La Macédoine ou la Hongrie ont permis à Mme Merkel de garder une image de bonne dirigeante. L’Allemagne se sent isolée dans l’accueil des migrants.
L’économie allemande a su gérer le flux de migrants. Les habitants ont touts fait pour que l’accueil se déroule correctement et pourtant l’AFD considère cette immigration comme étant incontrôlée. La réussite de l’accueil de ses migrants a été fortement aider par la société civile. En 1990 il y a déjà eu des migrations en Allemagne (avec l’arrivée des réfugiés Balkans). Les attaques terroristes en 2016 n’ont pas retourner ce pays contre les demandeurs d’asiles. Les collectivités local s’efforcent de réduire l’attente pour les cours d’allemand et droit de postuler pour avoir du travaille, Wuppertal et d’autres villes ont également ouvert un endroit unique pour éviter les multiplications des démarches.

Source :

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/comment-l-allemagne-a-gere-l-accueil-d-un-million-de-refugies_1942397.html

https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/les-migrants-et-l-allemagne_1753030.html

https://www.franceinter.fr/monde/allemagne-l-accueil-des-migrants-sujet-sensible

Antoine J.-P. & Valentin D.

Le trajet d’un migrant de Kaboul à Paris

Le parcours d’un migrant voulant parvenir en France est semé d’embuches.

Plusieurs événements peuvent pousser des gens à quitter leur pays. Par exemple, les impôts trop cher, le manque de travail ou encore la guerre. Certains partent avec des amis, d’autres avec leur famille, mais tous ont un même but : trouver une vie meilleure.

« Selon un décompte de L’organisation internationale pour les migrations, en 2016, 5000 personnes sont mortes ou disparue en mer Méditerranée dont 666 venaient de Libye. »

Le trajet dure très longtemps et coute très cher (Un voyage Afghanistan/France peut coûter 20 000 dollars et durer 2 mois, alors que dans la légalité, il aurait fallu environ 10h et 800 €.)

Partir du pays : il faut passer la frontière ce qui n’est pas simple. Après il faut traverser la mer. D’après le témoignage d’Ahmed al-Ghazali, il faut trouver un passeur et souvent il faut attendre dans des appartements insalubres et trop petit pour le nombre de personne logé. Ensuite, la traversée est rude car énormément de raison peuvent faire chavirer (au sens propre comme au figuré) l’embarcation. Par exemple la mer agitée, le bateau trop petit pour un trop grand nombre de migrants ou la déshydrations. Un fois la traversée effectuée, les migrants sont accueilli par des volontaires de la croix rouge. Il faut alors pour eux obtenir le statut de réfugié.

Source : Sputniknews*

Alors que les Afghan sont nombreux à demander l’asile en Europe, un trafic de faux passeports syriens s’est instauré, notamment en Turquie. L’objectif ? Faciliter l’entrée dans l’Union européenne (UE) des immigrants.

Il faut être vigilant par rapport à de possibles terroristes. Il y a des personnes qui aujourd’hui sont en Turquie, achètent des faux passeports afghan parce qu’elles ont évidemment compris qu’il y a un effet d’aubaine puisque les Afghan obtiennent le droit d’asile dans tous les États membres de l’Union européenne. Les personnes qui utilisent les faux passeports afghans souvent s’expriment en langue arabe. Elles peuvent être originaires d’Afrique du Nord, du Proche-Orient mais elles ont plutôt un profil de migrant économique

(Carte réalisée par nos soins)

On peut remarquer que les frontières sont traversées à pied.

Sources : Le point, Europe 1, le livre d’histoire-géographie (Lelivrescolaire)

Vicky A. & Lisa C.

L’île Nauru, une prison pour migrants

Présentation de l’île :

C’est une île du Pacifique située au large de la côte Est de l’Australie de 21 km² soit 11 fois moins que l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. Malgré un passé riche grâce à son exploitation de phosphate, aujourd’hui, les caisses de l’État sont pleines grâce à une activité peu scrupuleuse dont nous allons vous parler dans notre article.

Source : RFI.fr

Conditions de vie dans le camp :

L’île Nauru «accueille» ou plutôt force les migrants à rester sur son territoire contre une somme d’argent conséquente (284 millions d’euros par an) versée par l’Australie. Les migrants sont entassés jusqu’à parfois 12 sous la même tente dans des lits superposés. Les conditions d’hygiène sont déplorables, les gardiens ne laissent pas les réfugiés se doucher plus de 2 minutes, ils vivent parmi les rats et les cafards. Ils sont traités de manières horribles : menaces de morts, abus sexuels (parfois sur des enfants) pressions psychologiques poussant à la dépression et au suicide ou encore maltraitance physique. Dans les quelques 2000 rapports fait par le personnels de la prison, on retrouve quelques exemples de ce que les migrants peuvent s’infliger à cause de ces traitements comme de nombreuses tentatives de suicide ou encore automutilations comme cette jeune fille en 2014 qui s’était cousues les lèvres entre elles devant un gardien qui la regardait en rigolant. Certains témoignages parlent même du fait que : « A Bagdad, on risque de mourir d’une balle ou d’une bombe, et en un instant, c’est fini. Ici, je meurs lentement de douleur. »

Source : Human Rights Watch

Conditions de vie sur l’île :

Une fois sortis des camps grâce à leur statut de réfugié établi leurs conditions de vie ne s’améliorent pas forcément, en effet ils sont logés dans des minuscules containers, seulement une chaise et un lit pour un homme seul et une chambre plus une cuisine pour une famille de trois personnes par exemple. Ils bénéficient de très peu de protection des autorités de l’île qui laissent les nombreuses agressions dont sont victimes les réfugiés se dérouler sans intervenir ou punir les coupables. Les coupables, ce sont les habitants de l’île qui ne supportent pas l’installation des migrants sur leur île et s’attaquent à leurs maisons voir aux réfugiés eux-mêmes.

Source : Human Rights Watch

Comment l’Australie tente de masquer la situation sur la scène internationale :

Tout d’abord, le gouvernement Australien interdit aux journalistes et membres des ONG ( organisations consacrées à l’aide humanitaire ) de se rendre sur l’île pour constater la situation. Dans le même cas, les membres du personnel ont une interdiction formelle de divulguer les conditions d’enfermement, qui ont de graves conséquences psychologiques, ou encore le peu de soin que reçoivent les migrants. S’ils désobéissent à cette interdiction, ils encourent une peine de 2 ans de prison. Le premier ministre Australien aurait également réfuté des témoignages de maltraitances, automutilations, suicides en les qualifiants de faux. Et dès qu’on pointe du doigt la situation, le gouvernement nie automatiquement tout en bloc.

En conclusion, on peut difficilement imaginer faire bouger la situation, puisque le gouvernement Australien réfute toute accusation, les migrants sont donc obligés de supporter les traitements qu’on leurs inflige ou de rentrer dans leurs pays.

Sources :

Human Rights Watch (images) ; OBS ; Le Figaro ; Curiotopus ; Amnesty international ; RFI les voix du monde.

Zoé C. & Louane F.

Les migrants du parking Monnier à Mâcon

Le parking Monnier, situé à Mâcon en Saône et Loire, fait office d’habitat pour environs 200 migrants en provenance des Balkans, d’Albanie, de Macédoine et du Kosovo, depuis avril 2017. La plupart de ces personnes ont pu quitter le parking, certains ont été relogés et d’autres viennent tout juste d’arriver. Une soixantaine de personnes occupent un endroit désaffecté du parking ; une bonne partie de ces personnes ont fait une demande de régularisation auprès de la préfecture et une demande d’asile. Celle-ci prend beaucoup de temps car elle fait l’objet d’un examen approfondi par les services de préfecture et par l’Office français de la protection des réfugiés et des apatrides (OFPRA). La procédure d’asile est autorisée à des personnes qui sont ou qui risquent d’être persécutées dans leur pays.

Parmi les réfugiés dont la situation a pu être examinée par la préfecture, aucune n’a été en mesure de démontrer un risque de persécution. Depuis janvier 2017, les demandes d’asile ou de réexamen de demandes d’asile ont augmenté de 146%. Le tribunal de Dijon avait demandé au préfet de Saône et Loire d’améliorer l’accueil des migrants et le délai de traitement de leurs demandes. Le service d’état a donc décidé de faire héberger les personnes les plus vulnérables, les mères de famille avec de jeunes enfants, de ce fait plus de 70 personnes ont été hébergées provisoirement dans des hôtels depuis juillet 2017.

Le mercredi 13 septembre à 17h30, environ 120 personnes sont venues manifester devant la préfecture de Saône et Loire pour soutenir les associations (Collectif Monnier, Ligue des Droits de l’homme, RESF, CGT…) qui dénoncent les conditions inhumaines et inadmissibles dans lesquelles vivent de nombreuses personnes dont le parking Monnier, elles dénoncent aussi les conditions d’accueil en préfecture. Parallèlement à cette manifestation, une autre se déroule devant la sous-préfecture de Chalon sur Saône, là aussi les manifestants ont répondu à l’appel d’un collectif d’associations, la soixantaine de personnes présentes sont venues pour que les demandeurs d’asile aient de meilleures conditions d’accueil.

Touché par cette situation précaire, le Collectif Monnier s’est créé, comptant 70 bénévoles pour venir en aide à ces démunis. Ils sont aidés par de nombreux citoyens qui font dons de leurs vêtements et de nourriture ou en faisant des dons financiers et matériel. Un groupe d’amis et de connaissances a eu l’idée d’organiser un repas le samedi 18 novembre 2017 à midi. Le repas a été accompagné par une animation musicale, des boissons et des plats chauds servis et préparés par les membres d’une chorale.

Le mardi 21 novembre 2017, certains membres du Collectif Monnier ont accompagné une dizaine d’enfants de réfugiés à l’école Marie-Curie de Sennecé-les-Mâcon pour qu’ils soient scolarisés. Ils avaient envoyé des dossiers au service de vie scolaire de Mâcon pour qu’ils inscrivent les enfants à l’école. Le Collectif doutait qu’ils acceptent à cause de l’attente interminable qui avait suivie l’envoi des dossiers. Il s’avéra que les dossiers avaient été bloqués par le Maire de Mâcon, Jean-Patrick Courtois, qui affirmait que les effectifs étaient saturés et que le préfet lui avait donné l’ordre de ne pas inscrire.

Le 27 novembre 2017, le tribunal ordonne l’évacuation du parking Monnier à Mâcon. L’opération débute le jeudi 21 décembre 2017 à 6h30, obligeant les familles à faire leurs bagages dans la précipitation, la préfecture n’ayant pas jugé utile de les prévenir. Les migrants comptant 21 adultes et 24 enfants ont été conduits en bus au COSEC du collège Schumann. Ils pourront bénéficier de conditions de vie plus saine et de meilleurs conditions sanitaires au gymnase qui est chauffé et possède des douches. Les membres du Collectif Monnier sont inquiets pour la suite car certains réfugiés ont des soucis de santé. « La situation ne peut guère évoluer de toute façon tant que les demandes d’asile n’ont pas eu de réponses » dit l’un des membres du Collectif.

Sources : Journal de Saône et Loire (JSL) (informations et images) ; MâconInfo ; Franceinfo.

Théa D. & Émilie W.

L’Humanité n’a jamais été aussi mobile !

Avec les gigantesques progrès des transports durant le siècle dernier, il est devenu de plus en plus simple de se déplacer, vite, et loin. Les hommes et femmes du XXIème siècle se déplacent en avion, en voiture, en bateau, en camion, en moto mais aussi, et toujours, à pieds.

Dans le même temps, les raisons de se déplacer se sont multipliées, que ce soit pour travailler, étudier, voyager, fuir un pays en guerre, une catastrophe naturelle, et donc tout simplement survivre.

Trois classes de 4ème du collège Condorcet vont proposer dans les semaines à venir des articles et des dessins sur ce thème, n’hésitez pas à venir en faire la lecture !