Elle a appelé son exposition » femmes d’exception ». On a visité l’exposition et chacun a choisi une femme a présenter à l’oral.
On a particulièrement parlé de Rosa Parks, Olympe de Gouge, isabelle Eberhardt et de Frida Kahlo.
Ensuite on a créer des affiches avec des nouvelles femmes d’exception. On a repris le personnage de Rosa Parks et on a aussi créer la fiche de Simone Veil et de Marie Curie.
Dans le cadre de l’action « JEUNES EN LIBRAIRIE », les 3°4 ont rencontré et se sont déplacés à la librairie de Lure. La librairie s’appelle « A la lueur des Mots », elle occupe une petite surface du centre ville. La libraire vend des livres, mais aussi de la papeterie parce qu’elle ne gagne pas beaucoup d’argent avec les livres donc elle vend aussi du matériel scolaire et des bijoux. Par exemple, elle vend des jolis marques pages avec de belles fleurs. Sur un livre, elle ne gagne qu’environ 20 centimes et son loyer est de 600€. Elle ne décide pas du prix du livre. Le prix du livre est unique, si on l’achète en librairie ou sur internet c’est le même prix. Elle a repris la librairie depuis 8 ans, l’ancienne libraire est partie en Bretagne. Au début, elle a travaillé avec sa sœur mais depuis 3 ans, elle est toute seule. Elle nous a expliqué la différence entre une bibliothèque et une librairie : une bibliothèque est un endroit où on emprunte des livres avec un abonnement, par exemple la bibliothèque municipale qui est un service publique et la librairie est un endroit où on achète des livres, c’est un commerce qui doit gagner de l’argent. Les périodes où elle vend le plus de livres est la rentrée scolaire et noël. Le top 3 des ventes à Lure sont les mangas, les livres sur la new romance et les romans policiers. Ce qu’elle aime le plus dans son métier c’est de lire et découvrir des livres, discuter avec ses clients mais ce qu’elle aime le moins c’est lire les résumés des catalogues pour sélectionner des nouveaux livres, ça prend beaucoup de temps. Parmi les livres qu’elle vend, il y en a qu’elle choisit et d’autres qu’elle est obligée de prendre, ce sont les éditeurs qui lui imposent. Quand les livres ne sont pas achetés, elle les renvoie et ensuite ils sont détruits. Ils ne sont pas toujours recyclés mais quand on les fabriquent on utilise du papier qui vient de forêts durables. Elle aime aussi être son propre patron, cela donne beaucoup de responsabilités mais aussi beaucoup de liberté. Elle nous a aussi expliqué que pour être libraire, il y a une formation que l’on peut faire après le BAC dans un IUT à Mulhouse.
C’était très intéressant de discuter avec elle. On a appris beaucoup de choses, on était nombreux à ne jamais être allé à la librairie et on confondait avec la bibliothèque. On imaginait aussi moins l’importance de vendre et plus l’importance de lire mais on a compris qu’un libraire est certes quelqu’un qui aime la lecture mais ce n’est pas un professeur de français !
C’était aussi intéressant de découvrir la librairie, même si elle n’est pas faite pour recevoir autant de client que le nombre d’élèves de notre classe en même temps, l’espace est très bien organisé et très lumineux, ça donne envie d’explorer les étagères. La libraire a donné à chacun des conseils de lecture, elle nous a laissé le temps de choisir et on a tous trouvé au moins un livres voire plusieurs. Elle a plein de livres différents : des mangas, des livres pour les enfants, des romans, de la new romance…
Je vois Louis Pasteur en train de travailler debout, il a l’air concentré. Il tient un carnet dans sa main gauche et dans sa main droite il tient un flacon, il porte une veste noire. C’est bizarre , il devrait porter une blouse. En fait, il fait une pose pour le tableau, il fait semblant de lire le carnet et son coude est posé sur un grand livre marron. Son bureau est à côté de la fenêtre pour avoir de la lumière, sur son bureau il y a des flacons et un microscope, à côté du bureau il y a une grande armoire remplie de flacons. Au fond de la salle il y a une table remplie de flacon.
Le vendredi 24 février, il y a quatre jeunes adultes qui sont venus. Il y avait deux scientifiques et deux informaticiens. Paul, l’un des scientifiques, nous a expliqué son métier : technicien de laboratoire. Il travaille en Alsace, à Strasbourg dans un laboratoire qui s’appelle INSERM. Il nous a montré une photo de l’extérieur de son laboratoire, c’est coloré avec beaucoup de jaune, c’est très grand et il y a beaucoup de fenêtres. Il travaille sur une maladie neurodégénérative : la maladie de Charcot. C’est une maladie qui détruit le cerveau. Il fait des tests sur les souris pour trouver des recettes de médicaments. Il travaille sur des souris parce qu’elles se reproduisent vite, elles ressemblent à l’homme et c’est plus facile de travailler sur une souris que sur une mouche. Il prend le cerveau et le coupe en fines tranches pour faire des expériences. Il utilise des microscopes pour observer les cellules. Il travaille sur l’ADN : c’est très petit, pour le voir il faut un microscope et personne n’a le même.
Dans le tableau, on voit Louis Pasteur qui est dans son laboratoire. Il travaille debout. Il est en costume noir et il a l’air bizarre parce qu’il devrait porter une blouse. Il prend un pose pour le tableau. Il tient un carnet dans la main gauche et dans la main droite un flacon. Son bras gauche est appuyé sur un grand livre qui a une couverture marron. Pasteur ne regarde pas le peintre mais regarde son flacon. Son laboratoire est sombre. La lumière vient de la fenêtre qui est à gauche de Pasteur. Les rideaux sont ouverts et ils sont orange. Devant la fenêtre, il y a des flacons, un livre et du matériel scientifique qui est posé sur une table. On voit aussi le microscope que Louis Pasteur utilise pour ses recherches sur la rage.
Christophe Colomb a découvert l’Amérique en 1492. C’est un italien qui a un lien avec l’Espagne parce que l’Espagne lui paye tout ce dont il a besoin pour ses voyages : de la nourriture, de l’eau, des équipages, des navires… L’Europe veut aller en Inde pour trouver des épices : de la vanille, de la cannelle, du poivre, du curry, du piment… La Turquie (Empire Ottoman) devient très forte et elle dit que l’Europe doit payer pour passer en Turquie alors l’Europe cherche un autre chemin. Christophe Colomb dit que l’Europe passe par l’Ouest mais il se trompe et arrive en Amérique.
Nous avons regardé une vidéo « Moi et les autres en bref… ». La vidéo parle de discrimination quand on est en stage, des stagiaires.
Un stagiaire est un élève de 3ème ou un lycéen qui va travailler pendant une ou plusieurs semaines dans une entreprise pour en apprendre plus sur le métier qu’il aimerait faire.
Qu’est-ce que c’est la discrimination ?
C’est quand une personne juge une autre personne pour son apparence (taille, physique…) ou ses compétences / capacités.
Le jeudi 26 janvier, Laurence la conteuse heureuse est venue en UPE2A. C’est la troisième fois qu’elle venait. On a fait beaucoup de choses. Au début, on a présenté les deux nouveaux élèves, il y a encore des nouveaux élèves en UPE2A. Après madame Laurence a demandé à tout le monde : comment on se sentait aujourd’hui. Tout le monde étaient à fond, en pleine forme. Ensuite on s’est échauffé pour réveiller nos mains, nos pieds, nos yeux, nos oreilles, nos nez, nos bouches, nos sourcils. Puis pour terminer, elle nous a raconté des histoires.
Le singe laisse tomber une banane dans le trou d’un arbre. Pour récupérer sa banane, le singe demande de l’aide à des personnes et des animaux .Tout le monde refuse sauf la mort en dernier. Le singe et la mort retourne voir les personnes et animaux pour demander de l’aide. Le bûcheron accepte alors il donne une hache et le singe coupe l’arbre pour récupérer sa banane. Et il s’assoie sur l’arbre la savourer. Il y a un singe, un bûcheron, des soldats, un roi, une reine, une souris, un chat, un chien, un jaguar, un chasseur, la mort. C’est une histoire en randonnée.
Nous avons travaillé sur des virelangues :
Six souris sous six lits sourient sans soucis, a six chats sur six lits.
Ton thé t’a-t-il ôté ta toux ? Dit le tatou tout tatoué au toutou tondu.
Natacha n’attacha pas son chat Pacha qui s’échappa. Cela fâcha Sacha qui chassa Natacha.
