Pour comprendre les mathématiques, rien de tel que de voyager dans le temps et l’espace : des mondes pleins de merveilles s’ouvrent aux visiteurs curieux !
Une page d’Histoire
Dans la classe, notre livre-support est Nous, notre histoire d’Yvan Pommaux et Christophe Ylla-Somers. Nos découvertes s’attachent aussi aux récits écrits par les hommes depuis l’Antiquité et nous apprenons à étudier des documents de natures variées. Tournez les pages avec nous !
Dessiner des mondes
Mondes lointains, environnements proches, espaces familiers, mondes imaginaires, terres inconnues…. ; avec des instruments de tracé, sans bouger de sa table, il devrait aussi être possible de découvrir le monde.
Les territoires mérovingiens et caroligiens
Nos personnages fictifs pour les aventures imaginaires du 1, rue de l’école
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Le paléolithique d’Yvan Pommaux
En classe nous lisons le livre d’Yvan Pommaux et Christophe Ylla-Somers intitulé Nous notre histoire. Page 10 et 11, nous trouvons des informations sur le Paléolithique.
En haut et à gauche se la double page, on trouve une petite cigogne mystérieuse. En lisant cette page, vous découvrirez ce qu’elle peut signifier.
Auteurs : Baptiste, Matys, Enzo (CM2)
Étudier la chanson de Roland
Pour étudier la Chanson de Roland, nous avons travaillé avec plusieurs documents différents.
En cliquant sur les textes ci-dessous, vous aurez accès aux documents ou aux analyses.
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Récit d’un texte en ancien français . |
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Vidéo d’un spectacle de théâtre (plusieurs extraits) sur la chanson de Roland. |
Enluminure à décrypter |
Le cinéma de la préhistoire
Le cinéma a été inventé par les frères Lumière à la fin du XIXe siècle.
Marc Azéma a une hypothèse sur les dessins et les peintures rupestres des hommes préhistoriques. Son hypothèse est que les hommes formaient des traits successifs pour montrer les mouvements des animaux (des pattes entre les pattes par exemple).
Nous avons réalisé un petit film qui présente l’expérience que Marc Azéma a réalisée. Il a reproduit le mouvement en dessinant un animal sur chaque face d’une rondelle en os. Chaque dessin utilise des traits différents présents sur la paroi. Voici notre tentative imaginée à partir d’un cheval de Lascaux (les traits ont été ajoutés par nous pour reproduire l’expérimentation de Marc Azéma).
Auteurs : Oriane (CE2), Allan, Théo (CM2) / Manipulation : Maxime (CM1) / Dessin : Maram (CE2)
La pascaline
La pascaline fut l’une des premières machines à calculer. L’inventeur s’appelle Blaise Pascal, il est français, il l’a inventée à 17 ans et au 17ème siècle (drôle de coïncidence, NON ?). C’est jeune 17 ans !!!!!!
photo de Blaise Pascal
Photo d’une pascaline
Il y a 6 roues. Cette pascaline peut aller jusqu’à 999 999. Elle est en métal. Celles d’aujourd’hui sont en plastique et beaucoup plus légères. Les pascalines de notre classe vont jusqu’à 999 maximum. Quand nous bougeons les unités jusqu’à 9 et que nous ajoutons 1 ça fait bouger la roue des dizaines, si on fait pareil avec les dizaines ça fait bouger la roue des centaines. Il faut faire tourner la roue des unités 100 fois si on veut que la roue des centaines tourne. Par exemple si on prend 567 on fait tourner la roue des unités 567 fois, la roue des dizaines 56 fois, la roue des centaines 5 fois.
Comment se servir d’une pascaline pour additionner par exemple 85 + 135 ?
Auteur : Arthus (CM1) et Theo (CM2)
La chanson de Roland
Il existe plusieurs transcriptions de La Chanson de Roland. Nous vous en proposons quatre. La dernière a été écrite en classe.
Texte dit « Manuscrit d’Oxford », début du XIIe siècle.
Un duc i est, si ad num Falsaron :
Icil er[t] frere al rei Marsiliun ;
Il tint la tere Datliun e Balbiun.
Suz cel nen at plus encrisme felun.
Entre les dous oilz mult out large le front,
Grant demi pied mesurer i pout hom.
Asez ad doel quant vit mort sun nevold,
Ist de la prese, si se met en bandun,
E se s’escriet l’enseigne paienor ;
Envers Franceis est mult cuntrarius :
« Enquoi perdrat France dulce s’onur ! »
Ot le Oliver, sin ad mult grant irur ;
Le cheval brochet des oriez esperuns,
Vait le ferir en guise de baron.
Extrait de la Chanson de Roland. Transcription de Raoul Mortier en 1940 (Wikisource)
Transcription de l’extrait par Axel
Le duc est là, il s’appelle Falsaron : c’est le frère du Roi Marsile. Il possède la terre de Dathan et d’Abiron ; sous le ciel il est le pire traître. Son front est si large entre ses deux yeux qu’on peut y mesurer un demi-pied. Il est très triste de voir mourir son neveu, sort de la foule, se met au galop et lance le cri de guerre des païens. Envers les Francs il est très injurieux : « Aujourd’hui, Douce France perdra son honneur ! ». Olivier l’entend en grande colère. Il pique son cheval de ses éperons d’or et va le frapper d’un vrai coup de baron.
Auteur : Axel (CM2)