Imaginer un paysage de l’Afrique vu du ciel

Jeudi 4 février, nous avons commencé un paysage de l’Afrique vu du ciel, nous l’avons  imaginé. Chacun avait une feuille. Sur chaque feuille il y avait un chemin au crayon de papier. Nous avons pris de la peinture marron et peint le chemin. Autour du chemin, nous avons peint des champs. Il fallait communiquer avec ses voisins pour que les couleurs raccordent.

Quand c’était sec nous avons rassemblés. Mais tout le monde s’est un peu trompé et le résultat montre que ça ne se reliaient pas vraiment toujours. Pourtant, c’est quand même un beau paysage qui apparait.

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auteur: Cristiano

 

Peinture à partir des œuvres de Pierre Biebuyck

Nous avons voulu nous inspirer des oeuvres de Pierre Biebuyck que nous avons vu dans la pièce de théâtre Non mais t’as vu ma tête !

À la fin du spectacle, l’artiste a demandé à des personnes du public de se lever pour les dessiner à sa façon et a finalement peint une représentation de tout le public.

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Pour réaliser notre peinture, nous avons eu besoin de :

Matériel : pinceaux, peinture (couleurs au choix), une bâche transparente, feuille A3, racloir à créneaux et un autre sans créneaux, pot sans le capuchon, morceau de carrelage pour servir de palette et une éponge

Nous avons effectué les étapes suivantes :

  • Faire le visage à l’aide de la peinture sur la bâche plastique.
  • Avec le pot faire un cercle qui fera le contour des yeux.
  • Pour faire le nez prendre le racloir sans créneaux puis faire un arc de cercle.
  • Avec l’éponge tamponner pour faire la bouche.
  • Ensuite pour faire les oreilles prendre de la peinture sur un pinceau et les dessiner.
  • Avec l’éponge tamponner pour faire les cheveux.
  • Prendre une feuille plus grande que le visage dessiné puis poser la feuille dessus et tapoter.
  • Pour finir enlever la feuille de la bâche pour obtenir le visage en impression.

Voici le résultat :

Non mais t'as vu nos têtes !

Auteurs : Matys, Axel et la classe.

 

Le voyage à Dijon

dijon

Nous avons pris le train (à 6h25) pour Dijon pour aller voir deux spectacles de théâtre.

À notre arrivée à 8h30 (1) le matin, nous sommes allés sur la place Darcy pour jouer (2). Nous avons vu l’ours de Pompon. Après nous avons pris le tramway à l’arrêt Darcy(3) pour aller voir le premier spectacle qui s’appelle « Non mais t’as vu ma tête« . En sortant du tram à l’arrêt Erasme (4), nous avons traversé l’université de Bourgogne pour aller au théâtre Mansart (5). Après le spectacle nous sommes allés au restaurant universitaire (5) où le repas était excellent ! L’après-midi nous avons repris le tram à l’arrêt Erasme et nous sommes descendus à l’arrêt Godrans (6). Nous sommes baladés dans Dijon et nous avons touché la chouette sur l’église Notre-dame (7).

chouette

Toute la classe a fait son vœu. Après nous sommes allés sur une autre place qui s’appelle la place de la Libération (8) et nous avons joué un peu au frisbee (un seul passant a été touché !) ; après nous sommes allés au théâtre des Feuillants (9) pour voir la pièce qui s’appelle « Du temps que les arbres parlaient « . En sortant, nous sommes allés au musée archéologique (9) puis enfin nous sommes retournés à la gare (1).

Auteur : Arthus

William Sheller

William Sheller est un chanteur contemporain qui est l’auteur de « Good bye good bye good ». Cette chanson a un rapport avec Jules Verne et David Bowie puisqu’il s’agit d’un voyage dans les airs et on suppose qu’un des deux personnages part on ne sait où (comme le Major Tom). « Où est-ce que tu vas ? » lui demande l’autre.

William Sheller décrit le monde que le personnage ont sous leurs yeux « Tu verras des gens tout en bas qui vont s’lever, nous montrer du doigt, là au-dessus des tours qui les cloisonnent.  On leur f’ra signe de  la main, ou pourra même si tu veux bien, descendre y faire un tour l’idée serait bonne ».

Auteur : Baptiste

Graphique « temps et parcours » sur trajet en train Etigny-Veron

Nous sommes allés à Dijon jeudi 11 février (voir autres articles). Nous avons représenté le trajet du train depuis la gare d’Etigny-Véron jusqu’à Dijon. Ce graphique montre le temps et le trajet parcouru d’un arrêt à un autre jusqu’à Dijon.

graphique

Lignes verticales : les gares où le train s’arrête.

Lignes horizontales : elle est graduée de 5 min en 5 min.

Sur le parcours tracé, on voit des trajets représentés par :

  • des obliques « pentues » : c’ est parce que le trajet entre les deux arrêts ont peu de kilomètres,
  • des obliques « en pente douce » : c’est parce que le trajet entre les deux arrêts a beaucoup de kilomètres.

 

Auteur : Emilie (CM2)

Qu’est-ce que c’est qu’un son ?

Nous sommes entourés de sons qui parcourent l’espace autour de nous.

Nous avons fait deux expériences pour montrer que le son voyage avec l’air. S’il n’y a pas d’air, il n’y a pas de son ! Nous avons aussi appris que le son est une vibration.

Dans cette expérience, la cuillère frappe la bassine. L’air mis en mouvement vient frapper  la membrane en plastique qui vibre : comme on le voit avec les billes de polystyrène qui « sautent ». Le son c’est des vibrations.

Dans cette expérience, l’archer frotte la corde qui vibre. Les vibrations se propagent dans la caisse de résonance et ressortent. Elles arrivent jusqu’à nos oreilles et nous les entendons : c’est un son.

Arthus (CM1)

 

Des pièces gauloises en 2016

On a découpé deux verres en plastique. On a pris de la pâte-à-modeler. On l’a mise dans le fond des verres en plastique. Avec le crayon de papier on a fait un cheval sur un fond et personnage sur l’autre et on a mis du plâtre dessus. Quand le plâtre était sec, on l’a peint en doré.

pièces gauloises

Les pièces dorées sont les faces terminées, les faces roses sont les moules en pâte-à-modeler.

Auteur : Fabio (CE2)