On a appris une dance. Les petits faisaient la farandole et nous, on faisait la ronde.
On a fait un spectacle devant plein de parents. On a dansé.
On a fait 4 ateliers et dans un atelier, on a fait des jeux avec maîtresse Aurélie.
On a accroché des décorations qu’on avait fait dans la salle des fêtes de Passy.
On a regardé une histoire qui parle de Carnaval et des animaux : « Le Carnaval des Animaux ». Le lion faisait du piano. Le lion était bizarre parce qu’il avait avalé une mouche mais il ne s’en était pas rendu-compte. A la fin, les animaux ont décidé de faire un Carnaval. Pendant qu’on regardait le livre, les petits faisaient la sieste.
Tous les enfants étaient déguisés et les adultes aussi.
On a mangé un pique-nique dans la salle de motricité parce que dehors c’était mouillé.
Maîtresse Aurélie a pris des photos de nous.
En 4ème atelier, on a fait des masques d’animaux avec maîtresse Virginie.
Nous avons découvert l’univers de Codex en classant certaines de ses créatures selon nos critères : vivent dans l’eau, ont des ailes, ont des cornes, ont des écailles, peut voler … Nous avons choisi une oeuvre chacun puis nous lui avons trouvé un nom et nous avons écrit son « histoire » (Où vit-il ? Que mange-t’il ? Que sait-il faire ? … )
Après l’étude de l’oeuvre « Nuit étoilée » de Vincent Van Gogh, les élèves ont réalisé un ciel étoilé à partir de peinture et de collage. Ensuite, ils ont pioché une partie de 3 animaux différents (début, milieu, fin) qu’ils ont colorié en noir. Enfin, ils ont recopié le nom de leur animal mélangé créé à partir des syllabes des animaux qui le compose. Les élèves qui le souhaitaient ont composé un second animal.
A partir de devinettes, nous avons réussi à associer chaque créatures à sa description. Nous avons essayé de dessiner le phénix à partir de sa description.
Nous avons appris les noms de certains oiseaux que l’on ne connaissait pas comme la buse, rougequeue-noire, et plein d’autres… Nous avons aussi appris ce qu’ils mangeaient : des graines, des fruits, des insectes, etc.
Si on trouve un animal blessé :
Inès (l’employée du CSOS89) a essayé de nous apprendre qu’il fallait téléphoner au « CSOS89 » et qu’il fallait plaquer l’animal contre le sol, dire où l’on se trouvait, dire où l’oiseau est blessé et le mettre dans un carton pour l’emmener chez « CSOS89 » pour qu’il le soigne puis qu’il le relâche.
Méline CM2, Mattys CM1, Cyprielle CE2, Louka CM2
Le CSOS89
Le CSOS 89 soigne tous les animaux s’ils ne sont pas plus gros qu’un castor. Il s’occupe aussi de les nourrir. Il n’a pas le droit de les apprivoiser sinon les animaux pourraient s’attacher trop vite à la personne qui s’occupe d’eux. Les oiseaux mangent différentes choses comme des insectes, des fruits, des campagnols, des fourmis etc. Certains animaux vivent en forêt ou en prairie, etc. On peut appeler le CSOS 89 en cas d’urgence si on trouve un animal blessé. Environ cinq-cents animaux sont soignés par an. Pour le chat sauvage, les soigneurs sont obligés de mettre des gants pour éviter les morsures. Il existe plusieurs espèces de chouettes comme les chouettes hulottes et les chouettes effraies.
Maelys CM2, et Yéléna cm2 et Enzo CE2
Comment emmener un oiseau à la C.S.O.S 89 ?
1. Plaque l’oiseau (pas trop fort pour ne pas lui faire mal) pour qu’il ne s’échappe pas.
2. Mets tes deux mains sur les ailes pour qu’il n’essaie pas de voler et aussi pour ne pas aggraver son cas.
3. Avant de le déposer dans le carton, avec la main, essaie de déposer des doigts sur ses deux ailes et avec l’autre main, mets un doigt entre ses pattes et deux autres doigts à côté des deux autres pattes (une de chaque coté) pour l’immobiliser.
4. Pour maintenir l’oiseau en place, mets-le entre ton bras et ta poitrine, avec ta main, place un doigt entre ses pattes et avec tes deux autres doigts, à côté de ses pattes pour qu’il ne se fasse pas mal.
5. Prends un carton (si tu n’en as pas va dans un magasin ou dans un bar, etc.) dépose l’oiseau et prends-le de la même façon que dans la troisième étape.
6. Plaque-le et referme vite la boîte.
Numéro de téléphone de la C.S.O.S. 89 : 03.86.97.96.62
Les amidakujis permettent de tirer au sort au Japon. Ils se présentent comme des chemins avec un point de départ et un point d’arrivé unique. On commence par tracer autant de traits verticaux parallèles espacés et de même longueur que de participants (au minimum deux) : ce sont les montants. On écrit le nom des participants, comme on veut, en haut de chaque trait vertical. On écrit le nom des tâches, des rôles et des fonctions (etc.) en bas de chaque trait. On trace ensuite aléatoirement, des traits verticaux et horizontaux qui relient deux traits successifs sans qu’un même trait relie trois montants : ce sont les barreaux. L’ensemble donne un aspect de « briques ».
La cigale ne chante pas car le son n’est pas produit par la « bouche ». On parle de « cymbalisation ». Elle est produite par des membranes élastiques que des muscles tendent et détendent à l’intérieur de son abdomen (900 fois par minute) qui sert de caisse de résonnance. La cigale produit son « chant » à partir de 22°C. Ce sont exclusivement les mâles qui chantent pour attirer les femelles.