L’atoll de bikini, la mort d’un paradis

L’atoll de Bikini est un atoll des îles Marshall. Cet atoll est au nord de l’Australie, dans l’Océan Pacifique. Cet atoll a été victime de plusieurs essais nucléaires des États-Unis. Le premier essai nucléaire par les États-Unis a été le 1er juillet 1945, l’opération s’est appelée l’opération « Crossroads ». L’atoll a été victimes des essais nucléaires pendant 10 années (1940-1950).

« Les Iles Marshall, de par les souffrances dont elles ont été victimes, ont des raisons particulières de se préoccuper du désarmement nucléaire« , a reconnu le président Abraham. Pendant cette période, il y a eu 67 armes nucléaires de différentes puissances ont explosé sur cette île. Les habitants de cette île ont demandé un asile pour échapper aux effets dévastateurs du réchauffement climatique sur les îles où ils ont trouvé refuge. «Nous voulons nous installer aux États-Unis», a déclaré le maire de Bikini, Nishma Jamore.

Dans une nouvelle tentative d’actualiser les informations concernant le niveau de contamination nucléaire dans les Îles Marshall, les scientifiques se sont rendus sur place et ont évalué le taux d’émission de rayons gamma sur l’île de Bikini. Sur les trois îles qui ont été touché le plus ont été: Enewetak, Rongelap et Bikini. Si pour les îles d’Enewetak et de Rongelap, le verdict des scientifiques a été positif, les radiations ont enfin atteint la norme. L’atoll de Bikini présente toujours un danger pour l’homme. De ce fait, les exilés ne sont toujours pas autorisés à rentrer chez eux. Selon les scientifiques, il faudrait de nouvelles études pour pouvoir bien évaluer tous les risques pour l’Homme. Les habitants qui vivaient sur l’atoll de bikini se sont réfugiée dans Ejit et Kili, deux des autres îles qui peuplait de l’archipel des Marshall. Kili est inhospitalière et ne dispose pas de lagon, donc on ne peut pas pêcher. Les anciens habitant de l’île de bikini estiment que les États-Unis sont responsables de l’hostilité de leurs îles mais n’en font rien pour les aider.

Sources : Wikipédia ; Le Figaro ; Le monde ; sputniknews*

Rafael R. & Loïc S.

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