« … Tous ses enfants sur sa tête, fleurs soleil en devenir
Son corps long et robuste, une grande tige qui veut grandir
Grandir pour atteindre le zénith, son père suprême qui l’attire
Tous les enfants del Sol y de la Luna c’la va sans dire.
… »
« Au moins dans ces prairies elle n’était plus une veuve de guerre ni une vieille fille, ici elle ne se sentait rien d’autre qu’elle même, sans quoi que ce soit qui la désigne ou la condamne, elle découvrait à quel point il est rare et précieux de n’exister que par soi-même et de ne plus être atteinte par le regard de personne. »
« Le bonheur est en nous. Réjouissons-nous dans la pratique du bien, n’attachons de prix qu’à ce qui peut contribuer à notre élévation morale et nous trouverons la paix et le repos puisqu’il ne dépend que de nous de faire toujours le bien et que tout peut servir à notre perfectionnement. »
C’est une de nos AED qui aujourd’hui nous envoie sa photo pour le concours.
Elle est accompagnée d’un article.
Merci Emma !
« Je fais partie de l’association SOS Refoulement, qui milite pour la défense des droits des étrangers. En temps normal, notre travail consiste principalement en des démarches administratives et juridiques mais depuis le début du confinement, plusieurs collectifs dijonnais – tels que le collectif Soutien asile 21, les Tanneries, le Quartier Libre des Lentillères, etc. – se sont organisés ensemble pour préparer et distribuer des colis alimentaires et des produits d’hygiène à plus de 350 personnes en situation de précarité. Avec le confinement, beaucoup de personnes se retrouvent sans aucune rentrée d’argent, parfois sans droit au chômage ou aux allocations sociales par exemple. Donc on a essayé de continuer à agir politiquement, et d’être solidaires.
On se fournit entre autres à la banque alimentaire, mais on récupère aussi beaucoup de dons venant des particuliers, des paroisses, des associations, des agriculteurs…On prépare ensuite des colis et on les livre directement dans les squats et au domicile des personnes qui nous sollicitent. Finalement, beaucoup de solidarités se sont créées et on espère pouvoir continuer aussi longtemps que durera ce confinement. »
« Les sceptiques sur la nature humaine, qui sont nombreux et obstinés, soutiennent que, s’il est vrai que l’occasion ne fait pas toujours le larron, il n’est pas moins vrai qu’elle l’aide beaucoup ».
« Il y a des contrainte du cerveau, mais elles viennent du corps. On n’a que deux yeux, deux mains, donc on va observer et manipuler qu’un seul objet à la fois. {…} Dès que je me connecte à quelque chose, il faut que je me déconnecte du reste. Donc se connecter, c’est se déconnecter ».
Jean-Philippe Lachaux,
Le cerveau à l’heure de l’hyperconnexion
(Conférence filmée les 12, 13 et 14 mai 2017 à L’ÉCHAPPÉE VOLÉE sur le Campus Serge Kampf Les Fontaines, à retrouver là :