Les élèves d’UPE2A ont visité le planétarium vendredi dernier avec deux de leurs enseignants. Ils ont également assisté à la projection d’un film documentaire sur la création de notre système solaire et ses différentes planètes.
La veille, ils avaient visité le musée archéologique et suivi une visite guidée sur le thèmes des échanges et du commerce, depuis l’apparition de l’homme jusqu’à la période romaine. Ils ont enfin battu monnaie gauloise avant de remercier Benjamin, le conférencier, pour sa gentillesse et sa façon d’employer le plus possible des mots que ces jeunes allophones puissent comprendre facilement. Qu’il en soit une fois encore remercié, ainsi que les élèves qui ont participé de tout cœur à cette visite.
En prévision du passage des parents pour les rencontre parents-professeurs et les JPO, les enseignantes de français en UFA et UPE2A ont imaginé une exposition des travaux réalisés par leurs élèves autour du voyage, qu’il soit consenti ou non.
Ainsi, les élèves nouvellement arrivés en France ont esquissé leur portrait qu’ils ont présenté aux terminales UFA. Ceux-ci ont dû ensuite retravailler sur ces portraits afin d’en faire un article de journal.
De quoi emmener les élèves de 1ère UFA à travailler sur le voyage et les grandes découvertes, les aliments nouveaux rapportés des terres nouvelles.
Les 2de UFA ont voyagé dans les romans et les bandes dessinées qui entraînent le ou les héros dans des terres lointaines et parfois inhospitalières. Ils ont, avec les UPE2A, rencontré le grand explorateur Maurice Thinet qui les avait amené sur les terres Papous.
Les CAP ont quant à eux travaillé sur l’alimentation dans le monde, ce que l’on mange ici et pas
ailleurs, et réciproquement, les spécialités étonnantes de France ou du bout du monde.
Tout cela donne une exposition extrêmement riche que les élèves peuvent d’ores et déjà parcourir.
Le mercredi on a fait une visite au musée de la vie Bourguignonne. La guide a expliqué beaucoup de choses et on a vu plein de choses.
En début on a vu des boutiques de l’épicerie qui vendent les épices comme la moutarde, de la crème de cassis, des bonbons, des biscuits, du savon, du café, de la farine, du riz, des nonnettes, et du vin de framboise. La conférencière a expliqué le sens du mot biscuit c’est cuit deux fois.
Après la guide a parlé sur l’histoire des biscuits Pernot liés à la première guerre mondiale. Puisque le gouvernement français demande aux gens français à aider le soldat, ça s’appelle l’effort de guerre.
En effet Pernot vend les gâteaux piou-piou et tout l’argent gagné, il a donné aux soldats et c’est pour ça que la boutique fermer ses portes.
Et aussi la conférencière a parlé sur l’histoire de l’entreprise Amora c’est la premier qui fait de la moutarde. Amora est une marque populaire dans le monde entier. La marque Amora fabrique aussi du mayonnaise, du ketchup et aussi des sauces.
Elle fait une opération dans marketing fabriquant des verres à collectionner …
Et on a vu les ingrédient du pain d’ épices, sont la farine, la cannelle, de l’anis étoilé .
On a fini par les ingrédients et la fabrication de la moutarde .
Ingrédients :
Vinaigre
Graines de moutarde
Technique de fabrication :
Dans un mortier on a mis les graines de moutarde et on a ajouté le vinaigre. Puis on a écrasé les graines de moutarde, après il faut laisse reposer 2 a 3 semaines et voilà .
On est allés au musée de la vie bourguignonne et quand on arrive la conférencière nous a expliqué, premièrement l’histoire de la moutarde avec l’entreprise AMORA et l’histoire des biscuits PERN0T et aussi l’influence de la biscuiterie PERNOT pendant la Première Guerre Mondiale.
Elle nous a guidé pour le musée et nous a monté l’épicerie où étaient touts les aliments traditionnels, comme le moutarde, la crème de cassis, les bonbons, etc… Après elle nous a parlé de la marque AMORA, qui produit les moutardes et autres types de sauce. Cette marque est connue dans le monde entier. Ils ont commencé à fabriquer de la moutarde en 1914 (date de la Première Guerre Mondiale) et ils ont commencé à faire du marketing en fabriquant des verres pour collectionner.
Après l’épicerie nous sommes allé a la biscuiterie PERNOT, là nous avons vu les biscuits qu’ils vendaient, comme les nonnettes, aussi une maquette de tout l’industrie PERNOT. La biscuiterie PERNOT a été très important pendant la Première Guerre Mondiale.
Le musée de la vie Bourguignonne est installé au cœur de la ville de Dijon . Ce musée présente l’histoire et des traditions de région bourguignonne de la fin du 19 siècle.
On a appris pour les plus célèbres et anciennes marques de industrie alimentaire. La marque Amora est connue pour sa production de la mayonnaise, des sauces, de ketchup mais sa grande spécialité est la moutarde.
La marque Pernot
Les biscuits de marque Pernot sont une des plus anciennes et connues biscuits en France et mais pas seulement. Piou-piou est le nom de biscuit qui a donné une grande aide aux soldats français pendant le première guerre (années 1914-1918) ainsi le grand effort de l’entreprise l’a ruinée mais l’argent de biscuits vendus a donné pour améliorer les conditions dans lesquelles étaient les soldats de France.
Fabriquer de la moutarde
On a fait de la moutarde a l’atelier. La base de formule est le vinaigre et les graines de moutarde, pour faire la moutarde il faut écraser les graines de moutarde et le vinaigre avec le pilon dans un mortier et on laisse reposer pour 2/3 semaines. Les vinaigriers -moutardiers de la ville ont dit « que la moutarde soit de bonne graine il faut du vin aigre ».
Dans l’épicerie modèle on a vu les verres de crème de cassis. La crème de cassis est une des spécialités de Dijon. La crème de cassis est une liqueur de couleur rouge de cassis, qui est un ingrédient du kir.
Les boutiques :
Dans l’épicerie modèle, il y avait des champagnes, de la moutarde, de la crème de cassis, du savon, du café, des bonbons, de la farine, du riz, des biscuits, du vin de framboise et des nonnettes avec de la confiture etc . Toutes ces choses étaient d’époque des 19 et 20 siècles.
Pain d’épices est une spécialité de Dijon. Le pain d’épices est un gâteau qui se cuisine avec tels épices : la cannelle , le clou de girofle et de l’anis étoilé.
Le musée est situé à Dijon c’est où nous apprenons l’histoire de Dijon et des choses traditionnelles qui se passent à Dijon par exemple la fabrication de la moutarde était réalisée, d’abord dans la ville de Dijon en 1914 il y avait une marque qui été très populaire dans le monde entier la marque « Amora ».
Amora c’est une entreprise qui fabrique de la moutarde de ketchup et de la mayonnaise et de la sauce en général et des verres pour la collection pour des collectionneurs, qui était aussi réaliser en 1914 avant la première guerre mondiale. Grace a entreprise Amora on a connu les mots « marketing », après nous avons vu l’épicerie de la modèle comme ils étaient dans les années 90, dans l’épicerie on a vu de la farine, du vins, des bonbons, du café, de savons, des nonettes qui sont aussi la spécialité de Dijon. Dans l’épicerie il vend aussi des épices per exemple la cannelle, le clou de girofle, les graines de moutarde et l’anis étoilé etc. Dijon est aussi connu grâce a l’entreprise « biscuits Pernot » qui a beaucoup aidé les soldats français dans la première guerre mondiale parce que ils étaient mal habillés et mal nourrit et ils se faisaient massacrés par leur ennemi. Le gouvernement a demandé à des gens de fait l’ effort de guerre, du coup l’ entreprise a fabriqué un biscuit au nom de soldats français « piou-piou »,c’est comme ça, ils ont eu l’argent pour les aides .
Ensuite, nous avons passés dans l’Atelier de la fabrication de la moutarde, pour fabriquer de la moutarde, nous avons besoin de deux ingrédients : du vinaigre, et la graine de la moutarde.
Pour préparer de la moutarde nous déposons la graine de la moutarde dans le mortier, après nous mélangeons avec du vinaigre, et après nous écrasons avec le pillon pour avoir une bon résultat.
On a parlé aussi de pain d’épices et comment on fabrique et des ingrédients nécessaire : la cannelle, les clos de girofle, l’anis étoilé, et de la farine.
La visite était très intéressante et toutes les choses qu’on a vues aussi dans le musée de la vie Bourguignonne.
Mme L., professeur de FLE au lycée, a amené sa classe visiter le Musée de la vie bourguignonne.
Une belle rencontre pour ces jeunes d’horizons très divers de se frotter à la culture bourguignonne, dans la joie et la bonne humeur du partage. Ils ont même fabriqué de la moutarde qu’ils ont goûté sur l’instant !
L’occasion aussi d’un beau travail de transmission écrite de leur expérience. A lire dans les articles qui suivent !
Mme Bécat, enseignante de français-histoire, a fait intervenir auprès de ses élèves apprentis (UFA routes) l’explorateur Maurice Thiney, dans le cadre du programme scolaire.
Il nous a régalé d’un reportage d’une de ses expédition en Papouasie Nouvelle-Guinée (choix des élèves)
et a répondu da manière passionnée et engagée aux questions des élèves.
Celles-ci ont tourné autour de l’engagement de l’explorateur (et de sa femme), de son désir de rencontre des populations indigènes minoritaires et éloignées du monde tel que nous le vivons, des difficultés rencontrées pendant ses expéditions en solo, les nourritures locales…
Une belle rencontre qui intervient dans leur travail autour de différents thèmes des programmes des CAP et des bacheliers : la rencontre de l’autre, la mondialisation de la nourriture, les grandes explorations, le travail journalistique, le portrait.
Cette action s’inscrit dans le projet d’écriture d’un livre numérique mis en place par Mme Guérin, conseillère académique pour l’action éducative et la scolarisation des élèves allophones et des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs à Dijon.
Les jeunes apprentis en langue française, récemment arrivés sur le territoire, réunis dans la classe d’UPE2A de Mme Valsan au lycée ont chacun expliqué un rite culturel ou religieux de leur pays d’origine.
Qui dit livre numérique dit support informatique et multiplicité des media utilisés. Ainsi, l’équipe de Bara Gwin Films est venue pendant trois jours filmer les productions des EANA (élèves allophones nouvellement arrivés en France). Ces images serviront au montage du livre numérique qui intégrera aussi du son, du texte, des quizz…
Cette expérience interactive avec des professionnels de l’image et du son a enchanté les élèves qui ont activement participé, par exemple à la prise de son. Même retour positif pour Max et Alyson, venus de Paris pour l’occasion. L’occasion également pour eux de penser, en immersion, à un prochain documentaire.