Et pour vous aider, voici :
« De fuir ailleurs sans jamais retourner
Dans les ombres qui fuient chaque nuitée,
Dans le clair de tes yeux et le carmin de ta bouche,
Dans l’espace de ton cœur et par petites touches,
et sur toute la langueur de ton corps, t’aimer et dormir,
Sans jamais faiblir, sans jamais faillir,
Et comme la lumière, sans hâte, parcourir l’espace,
Toutes les morales creuses enfermées dans ma besace,
Et enfin cesser de souffrir,
Voila quelques uns de mes désirs »
Le documentaliste poète
(pouet ?) d’un jour