« Les portraits après les paysages. Le printemps après l’hiver. La main après la technologie. L’huile après l’aquarelle. La couleur après le fusain. La Californie après l’Angleterre. La joie après la tragédie. La création après le vide. Et ainsi de suite. Tout fonctionnait en alternance. Il n’y avait pas de réponse aux questions inutiles. Juste des cycles. La vie n’était pas une route droite avec une perspective linéaire. Sinueuse, elle s’arrêtait, repartait, retournait en arrière puis bondissait en avant. Le hasard, la tragédie faisaient partie du grand dessein. Le grand dessein et le dessin, n’était-ce pas la même chose ? La capacité à percevoir l’ordre dans le chaos du monde. C’était cela qui attirait David dans l’art[…] »
Catherine Cussey
Bon week-end à toutes et tous !
Le documentaliste, illuminé par sa lecture