« Il y a des contrainte du cerveau, mais elles viennent du corps. On n’a que deux yeux, deux mains, donc on va observer et manipuler qu’un seul objet à la fois. {…} Dès que je me connecte à quelque chose, il faut que je me déconnecte du reste. Donc se connecter, c’est se déconnecter ».
Jean-Philippe Lachaux,
Le cerveau à l’heure de l’hyperconnexion
(Conférence filmée les 12, 13 et 14 mai 2017 à L’ÉCHAPPÉE VOLÉE sur le Campus Serge Kampf Les Fontaines, à retrouver là :