« La pièce m’a plu. La mise en scène, avec le jeu lumière-musique, était très intéressant. Simple et vivant, on s’y croyait ! La présence des personnages était très forte, l spectateur était invité à participer. Il n’y avait pas de barrière entre les acteurs et les spectateurs. L’ambiance était chaleureuse. Nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer un instant ».
Pauline, journaliste d’un soir
« La pièce était bien. On se serait cru au temps des châteaux forts. Accueil chaleureux et bonne ambiance étaient au rendez-vous. »
Antoine, journaliste d’un soir
« Sous l’armure », de Catherine Anne
« Sous l’armure, il y a quoi ? Un chevalier. Et pourquoi pas une chevalière ? Ah, ça ne se dit pas ? Au temps des châteaux-forts, Monseigneur veut partir au combat, embarquer son fils et mener sa fille au couvent. Et pendant ce temps, la châtelaine pleure en brodant ? Ça ne va pas se passer comme ça. Christine, vive et intrépide, préfère mourir sur son cheval plutôt qu’étouffée sous un voile. Voyant que Thibault, rêveur et tendre, panique à l’idée de guerroyer, elle décide de tout renverser. Elle ira sous l’armure et lui, sous la robe. Mais dans la forêt où les conduit le chemin de l’initiation, une épreuve les attend : il leur faut affronter le monstre à sept têtes. Comment parler de l’égalité fille-garçon et des stéréotypes aux enfants ? Catherine Anne en passe par le sensible en écrivant ce conte de maille poétique et politique. »
Théâtre National Dijon-Bourgogne