Adieu regard brillant
Avec ces vacances on voit éclore
Sur sa vieille face au regard mordor,
En lieu et place des trous creux et noirs
De nouveaux yeux, soulignés de noir,
Aux paupières foncées fardées de noir,
Et aussi sa peau blanche retrouvée,
Lavée de cette boue rouge à ses pieds
Qui couvre son hâle à chaque pluie
Il a un charme, un air alangui
Qui disparaîtra avec le soir…
Le documentaliste
Cette fantaisie a été écrite en écoutant les Chansons sans paroles de Félix Mendelssohn par Philippe Cassard