Les camps de la mort

Les premiers camps de la mort ont été construits en Pologne par les Nazis, car la plus forte communauté juive se situait en Pologne. D’autres ont été construits en Europe. Un des premiers s’appelle Auschwitz, il se trouve en Pologne. Les camps sont isolés et se trouvent loin des témoins. A côté des centres de mise à mort, il y avait aussi les camps de concentration. Les prisonniers y étaient traités brutalement, ils étaient essentiellement juifs. On y trouvait aussi des opposants politiques, des journalistes, des intellectuels, des personnes haut placées. Les nazis enregistraient les prénoms des prisonniers et leur attribuaient des numéros, un matricule. La nourriture était rationnée, de mauvaise qualité et en quantité limitée. Les maladies faisaient rage car les prisonniers n’étaient pas soignés et n’avaient aucune hygiène. Des juifs étaient utilisés comme cobayes pour des expériences médicales et d’autres étaient transférés dans des usines ou des camps pour travailler. Les prisonniers étaient traités comme des esclaves.

La dernière solution était de tuer des juifs dans des chambres à gaz, pour faire plus de place dans les camps. Les corps étaient ensuite brûlés dans des fours crématoires ou sur des bûchers. La majorité des déportés qui arrivaient au camp subissaient ce sort terrible, et disparaissaient dans les deux jours suivant leur arrivée.

Quand il étaient exécutés, ils étaient transférés à la campagne et étaient aussi obligés de prier en public avant d’être exécutés. Les camps de travail étaient cruels, inhumains. Ils étaient fouettés,  traités comme des esclaves et souvent ils mourraient de faim et de soif comme les rations étaient très limitées.

Sources :

Le bannissement des juifs en France

1) La première loi antisémite

Depuis le 3 octobre 1940, aucun juif ne pouvait devenir enseignant ou juge. La loi du 4 octobre autorise l’emprisonnement des Juifs avec simplement une décision du préfet ou d’un représentant du gouvernement dans les départements.

Sur ordre du régime de Vichy , les policiers et les gendarmes français ont aidé les nazis à arrêter environ 13 000 juifs.

Au milieu du 19ème siècle, après persécution, discrimination , mise en ghetto l’émancipation reconnaît les droits civils d’une grande partie des juifs d’Europe de l’Ouest.

2) La Politique antisémite des Allemands et du gouvernement de Vichy

Les autorités allemandes appliquent des lois antisémites ordonnées par le Reich. L’ordonnance du 27 novembre 1940 indique les critères qui permettent de repérer les personnes juives et lance le processus pour s’accaparer des entreprises et commerces Juifs.

3) Vols des biens Juifs

Les Allemands avec l’aide du régime de Vichy volent les œuvres d’arts et objets de valeur appartenant aux Juifs. Les personnes déportées sont dépouillées de tous leurs biens (vêtements, objets, bijoux, etc…), avant de monter dans les trains qui les conduisaient vers les camps.

4) Camps d’internement et premières rafles.

La loi du 4 octobre 1940 permet d’interner des «ressortissants étrangers de race juive» dans des «camps spéciaux». Ce sont des camps provisoires ou les conditions d’existence sont difficiles. Ils se situent principalement en France, en Allemagne et en Pologne. De 1941 à 1945, environ 6 million de juifs (hommes, femmes et enfants) ont été assassinés.

Sources :

Bruchfeld, Stéphane / A. Levine, Paul. « Dites-le à vos enfants ». [Livre]. Ramsay, 2000. 190 p. : 190 p.

http://www.cndp.fr/crdp-reims/ressources/brochures/blphg/bul06/campsnazis.htm

 

Hitler contre les juifs

Hitler a mis en place toute une politique antisémite, contre les Juifs, dont l’objectif consiste principalement à les faire disparaître, les tuer.

Dans cette logique, une grande partie a été déportée. Les Juifs sont emmenés dans des camps de concentration dans des wagons à bestiaux comme des bêtes avec une étoile juive sur la poitrine (étoile de David) pour les amener ensuite dans des chambres à gaz en leur faisant croire qu’ils allaient prendre une douche dans une chambre stérilisée. Ils diffusent alors un gaz appelé zyklon B et laissent le gaz faire. Son effet au contact de l’air asphyxiait alors les juifs qui mouraient alors dans les 20 minutes.

Il y aussi des camps de travail. On y faisait travailler les juifs et ils mourraient généralement de faim, de soif, d’épuisement, de maladie, etc.

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Sources :

Christopher Dobson. Chroniques d’Adolf Hitler. 2004

Lawton, Clive.A. De la discrimination à l’extermination : Histoire de La Soah. [Livre]. Gallimard, 2003.

Rechtman, Richard / Ben Jelloun, Tahar. Comment comprendre la terreur ?. Le Monde (N°22042) [Périodique]. 28-11-2015. p.17.

 

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La rafle du Vèl d’Hiv

Le matin du 16 juillet 1942 a débuté la rafle du Vèl d’Hiv.

Ce jour là, treize mille Juifs parisiens de 2 à 60 ans ont été arrêtés et déportés au camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. Les personnes qui les ont emmenés étaient des Allemands et des Français.

Les rescapés témoignent qu’ils ont été violemment séparés de leurs famille. Sur le chemin, ils ne virent que des policiers français, aucun allemand. Certains policiers ont même aidé certaines personnes à s’évader. Ensuite, ils ont été emmenés au vélodrome d’Hiver (Vèl-d’Hiv). Là-bas, les conditions de vie étaient déplorables. Les gens mourraient de faim, de soif, de maladies et de fatigue.

Les personnes sont entassées comme ceci :

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Voici un témoignage : «Les familles du Vèl d’Hiv sont transférées de la gare d’Austerlitz vers les camps d’internement de Pithiviers et Beaune-la-Rolande, dans le Loiret. Au mois d’août suivant, les mères sont enlevées à leurs enfants par les gendarmes et convoyées deux semaines plus tard à Auschwitz-Birkenau qui, depuis le début juillet, s’est transformé de camp de travail forcé en camp d’extermination à l’échelle industrielle.»

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Des films ont été tournés sur le Vel d’Hiv comme : « Elle s’appelait Sarah.» Ce film a été réalisé par : Gilles Paquet-Brenner en 2006.

Il raconte l’histoire d’une petite fille prénommée Sarah qui est juive. Elle se fait arrêter par les policiers à l’âge de 5-6 ans. Après plusieurs années dans un camp de concentration, elle réussit à s’échapper. Durant plusieurs années, elle cherche son petit frère …

Sources internet :

http://www.herodote.net/16_juillet_1942-evenement-19420716.php

Sources des images :

http://images.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fjeanjosephjulaud.fr%2FWordPress3%2Fwp-content%2Fuploads%2F2015%2F07%2F70-ans-rafle-vel-dhiv-16-17-juillet-1942-l-umi8dp.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fjeanjosephjulaud.fr%2F2015%2F07%2Fjuillet-1942-la-rafle-du-veldhiv%2F&h=434&w=599&tbnid=JCwRuse_FMrn4M%3A&docid=hXlw4b5pfjI0wM&ei=tc3rVuvMOoS0abfniugM&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=217&page=1&start=0&ndsp=38&ved=0ahUKEwir-5ad-cnLAhUEWhoKHbezAs0QrQMIHjAA&safe=strict

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L’histoire de la maison d’Izieu

La maison d’Izieu

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La maison appartient à Sabine et Miron Latin. Elle a accueilli de mai 1943 à avril 1944 plus de cent juifs pour les sauver des camps d’Hitler.

La Gestapo de Lyon, sur l’ordre de Klaus Barbie, a arrêté les 44 enfants qui se sont retrouvés avec leurs sept éducateurs, parce qu’ils étaient tous juifs.

Parmi les personnes, une seule a pu s’échapper en sautant par la fenêtre.

42 enfants et 5 adultes on été gazés dans le camps d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, après leur arrestation et leur déportation vers le principal camp de la mort nazi.

Deux adolescents et le directeur de la Maison d’Izieu ont été fusillés à Ravel en Estonie. Une seule a survécu, il s’agit de Léa Feldwebel.

Maintenant, après cette guerre violente, il a été décidé de construire un grand mémorial autour de la maison d’Izieu qui retrace l’existence des camps en France et la façon dont la colonie d’Izieu a été démantelée par les nazis en 1944 sans humanité pour les enfants qui s’y trouvaient.

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http://www.cndp.fr/crdp-reims/memoire/lieux/shoah/france/izieu.htm

lien des images:http://images.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fwww.cndp.fr%2Fcrdp-reims%2Fmemoire%2Flieux%2Fshoah%2Ffrance%2Fizieu.jpg&imgrefurl=http%3A%2F%2Fwww.cndp.fr%2Fcrdp-reims%2Fmemoire%2Flieux%2Fshoah%2Ffrance%2Fizieu.htm&h=324&w=450&tbnid=mDrmVgBsRWU6ZM%3A&docid=vE0jCMj4KYh_NM&ei=8L3qVrb_BMLzUvbDvtAD&tbm=isch&iact=rc&uact=3&dur=505&page=1&start=0&ndsp=40&ved=0ahUKEwi2t-KF9sfLAhXCuRQKHfahDzoQrQMIHjAA&safe=strict

Les enfants juifs dans les camps Allemands et Français, dans l’extermination voulue de leur peuple .

Les enfants Juifs dans les camps en France et en Allemagne.

Aux côtés des camps de concentration et des camps d’extermination, les ghettos, au nombre de 400 ont constitué le troisième grand dispositif organisé de la destruction en masse nazie.
Situés généralement des quartiers restreints mais parfois que d’un seul bâtiment, entourés de murs hauts de 3mètres et de barbelés, dans ces ghettos étaient regroupés des dizaines ou centaines de milliers, les Juifs de l’Est de l’Europe, habitants de grande villes ; y étaient transférés ceux résident dans de petite ville et campagne.

Lieux de regroupement, d’enfermement, d’entassement, d’étranglement, ils avaient pour fonction de couper les populations juives de tous liens matériels, communicationnels, relationnels et humains, avec leur environnement. Laissés à l’autorité illusoire de Conseils juifs , ils constituèrent par la misère extrême, l’insalubrité, les épidémies, et la famine organisée des mouroirs.
Dans la logique exterminatrice nazie, ils furent une étape provisoire avant la déportation vers l’extermination.
L’extermination des populations juives n’a pas attendu la conférence de Wansee qui annonce la « Solution Finale » (20 janvier 1942) pour être mise en place.ghetto-de-varsovie
À cette date, les massacres de masse des populations juives sont déjà commencés depuis plusieurs mois, principalement menés par les Einsatzgruppen composés de S.S., de membres de la police régulière allemande, et d’auxiliaires locaux passés sous les ordres nazis. Leurs actions meurtrières en masse ont commencé en Pologne dès l’occupation de celle-ci à l’été 1939, contre les cadres de la nation et de l’armée polonaises, puis contre les handicapés, les Juifs, les Tziganes.

Les enfants sont naturellement touchés par toutes ces politiques dans la mesure où par leur jeune âge, ils constituent une cible privilégiée par leur faiblesse.

Après l’invasion du territoire soviétique en juin 1941, à l’arrière des troupes de la Wehrmacht, dans le sillage de son avancée, les Einsatzgruppen, opérant en 4 groupes armés (A , B , C , D ), commencent l’extermination des Juifs dont la population est importante. Suscitant des pogroms (émeutes antisémites avec des pillages et des massacres), pratiquant des assassinats en masse par fusillades, dès août 1941, ce sont tous les Juifs : hommes femmes, enfants, qui sont exterminés, traqués dans les villes, les bourgs, les villages, les hameaux, abattus dans des fosses , dans les rues, sur les places. Les enfants, les nourrissons, y font l’objet de multiples formes d’exactions sadiques. C’est encore à cette période que débutent sur place les exterminations au moyen de camions transformés en chambres à gaz mobiles.
Ce sont plus d’un million de Juifs qui furent assassinés dans ces massacres.
La froideur comptable des chiffres ne dira jamais tout. Derrière elle se trouve la réalité du sort spécifique des enfants livrés à la destruction sous le signifiant maître du nazisme : la Sélection, toutes les atrocités commises à l’égard des enfants. Non seulement parce que pour eux il n’y avait sur les rampes qu’une sélection, la première. Pour les chambres à gaz, les fosses crématoires. Mais encore parce que sur eux furent essayées et pratiquées toutes les formes d’assassinats, les euthanasies, les pratiques médicales sadiques d’ expérimentation, l’esclavage sexuel, etc.

Ci-dessous, le témoignage, baptisé « Une chambre à gaz », par Thomas Geve conservéau  Musée Yad Vashem à Jérusalem et les Associations Françaises Buchenwald Dora et Kommandos :
« Un jour, ordre fut donné de tous les liquider : hommes, femmes, enfants. Alors qu’ils se traînaient désespérés vers la chambre à gaz, ils croisèrent un officier qui cherchait des recrues pour l’école des maçons. Schorsch fut sauvé. C’est lui qui le premier m’a raconté comment Birkenau était le bois de la mort. C’est alors que j’ai compris que nous avions souffert les mêmes choses, et depuis j’ai toujours cherché à en savoir plus sur mes camarades tziganes.

Et derrière cette réalité, se produisait une cassure dans laquelle les liens naturels étaient déchirés, les places asymétriques entre adultes et enfants bouleversées, l’ insouciance des enfants renversée, l’amour parental bafoué, condamné à des manifestations inconcevablement tragiques. Ainsi les savantes analyses sur le rôle des jeux des enfants, ses bénéfices psychologiques, cognitifs, de maîtrise de l’angoisse, d’adaptation, etc., trouvèrent dans l’Archipel de la mort programmée, leur tragique confirmation dans l’épouvante. Déjà dans les ghettos, les garçons jouaient au « passage de la porte » à la fouille par la police allemande des travailleurs forcés, au blocus imitant les rafles d’enfants, tandis que les filles jouaient à faire la queue, jouer des coudes et se battre pour une hypothétique boutique ».

La vie des enfants dans la Shoah n’était donc pas faite pour durer… Leur condamnation à mort  se faisait à plus ou moins court terme, par balle, par épuisement, par les gaz avec des chances de survie infimes.

Les nazis ont voulu tuer l’espoir d’une jeunesse, ils ont pratiquement réussi !

Sources :

FranceTVeducation. Dossier les enfants dans la Shoah. 2016
http://education.francetv.fr/matiere/epoque-contemporaine/cm2/article/le-sort-des-enfants-dans-la-shoah

De Corentin , Justine et Louna.

Déportation et camps de la mort pour les juifs de France.

Les juifs étaient dispersés en deux parties : les travailleurs (les hommes) et les exterminées (les femmes, les enfants et les personnes âgés). Ils étaient traités comme des animaux.

Les camps de concentration : dans ces camps, les Nazis leur font des tatouages douloureux avec des numéros pour les distinguer, ils les font ensuite travailler sur des tâches inutiles et les épuisent ; cet épuisement est renforcé par la sous-alimentation, le froid, les maladies.

Les camps d’extermination ou centre de mise à mort : ce sont les nazis qui organisent tout cela. A leur arrivée, les déportés sont triés et tous ceux considérés comme inaptes sont conduits vers les chambres à gaz. Il existe le gaz zyklon B, c’est un gaz toxique. Les déportés meurent par l’effet du gaz en 20 minutes maximum. Les corps sont brûlés dans des fours crématoires.

A la fin de l’année 1942, 42 000 juifs, le plus souvent d’origines étrangères, ont été déportés depuis la France. Entre début 1943 et août 1944, 34 000 juifs sont arrêtés et déportés à Auschwitz, en Pologne.

Les enfants de moins de 15 ans sont tués dès leur arrivée.

Dans les convois envoyés en 1942 à Auschwitz, il y avait beaucoup d’enfants déportés. Les autorités françaises les ont gardés, après avoir déporté et fait tuer leurs parents à Auschwitz. Entre le 17 et le 26 août 1942 beaucoup d’enfants ont été déportés.

Clara, Guilliane et Kathy-Lou.

5ème A

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deportation et camps

Sources :

FranceTVeducation. Dossier les enfants dans la Shoah. 2016

http://education.francetv.fr/matiere/epoque-contemporaine/cm2/dossier/les-enfants-dans-la-shoah

Mémorial de la Shoah. Le grenier de Sarah. [en ligne]. Mémorial de la Shoah, 08-01-2005. [env. 30p.]. http://www.grenierdesarah.org/index.php/fr/

Musée Mémorial de l’Holocauste de Washington. Encyclopédie multimédia de la Shoah. 2016.  http://memorial-wlc.recette.lbn.fr/fr/

Discrimination, racisme, le rôle du Défenseur des Droits

Définition discriminations : on rejette quelqu’un pour une différence.
Définition racisme : on rejette quelqu’un pour une origine.

Exemple : quand on rejette quelqu’un à cause de son pays d’origine ou de sa couleur de peau.

Le Défenseur des droits lutte contre les discriminations et favorise un égal accès de tous les droits à tous les citoyens. C’est un organisme d’État qui remplace la HALDE (Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’égalité).
Vous pouvez vous adresser au Défenseur des droits si vous vous estimez victimes de ces 20 discriminations punies par la loi (site les défenseurs droits) : SEXE, ORIGINES, GROSSESE, SITUATION FAMILIALE, APPARENCE PHYSIQUE, PATRONYMES, LIEU D’HABITATION, SANTE, HANDICAP, CARACTERISTIQUE GENETIQUE, MOEURS, ORIENTATION SEXUELLE, IDENTITE SEXUELLE, AGE, OPINION POLITIQUE, ACTIVITE SYNDICALE, APPARTENANCE A UNE RELIGION ET APPARTENANCE A UNE NATION.

On peut contacter le Défenseur des droits au 09 69 39 00 00 ou par courrier a cette adresse « rue saint florentin 75409 paris cedex 08 »

Le Défenseur des droits a eu plusieurs dossiers à cause des attentats du 13 novembre 2015. Avec l’état d urgence, il y a eu plusieurs perquisitions et à cause de cela deux personnes ont été licenciées. Les accusations ont ciblées par le Défenseur des droits comme étant abusives.
Très souvent, on ne peut pas détecter le racisme car les personnes radicalisées ne sont pas religieuses et pour la plupart ne connaissent pas le coran. La situation pour le défenseur des droits s’est donc particulièrement complexifiée suite aux attentats.

Source : www.defenseurdesdroits.gouv.fr

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Détournement une visite d’élèves à la mosquée

Debunkersdehoax.org est un site internet qui démolit les rumeurs d’extrêmes droites publiées sur le net. Ce site donne de nombreux exemples tels que :

 

     « Les immigrés nous prennent tout »

 « Les musulmans nous envahissent »

     « On n’est plus en sécurité en France »

Fait par hoax rumeur

 

Les événements se passent en France dans le collège de La Roche sur Yon le 22 octobre 2011. Les élèves en classe de 5e ont découvert la culture de l’Islam grâce aux cours d’histoire. Puis, ils se sont rendus dans une mosquée pour poser des questions à l’imam Ali Bensaada. L’extrême droite détourne les événements et dit que l’enseignant consent à leur apprendre l’Islam et cherche à convertir ses élèves à la religion musulmane.

Sources : http://www.debunkersdehoax.org/islamisation-des-collegiens-de-la-roche-sur-yon-exemple-de-la-technique-de-fabrication-de-hoax

http://www.debunkersdehoax.org/articles/les-immigras-nous-prennent-tout

 

Discrimination raciale dans l’entreprise Renault.

Discrimination raciale dans l’entreprise Renault.

En 2008, dans l’entreprise Renault, des personnes de couleur ont subi des discriminations raciales. Ainsi des membres de la hiérarchie de l’entreprise ont insulté leurs salariés de couleur noire de « singes » ou encore de « bougres de nègres ».
Par ailleurs, les personnes de couleur noire n’ont pas eu d’augmentation de grades et n’ont pas connu de progression dans leur carrière.

Du coup les salariés qui ont connu ces discriminations ont décidé de porter plainte pour discrimination et aussi saisi la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations (HALDE).
Renault a été condamnée à verser 80 000 euros de dommages et intérêts et 8 000 euros au titre de préjudices moraux à chacune des victimes.

Source : d’après le journal « Libération » du 3 avril 2008.

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